A bon entendeur

vendredi 20 janvier 2017

Du sexe, du vrai sexe, du sexe non simulé pour tous...

L'un des derniers cadeaux - Audrey Azoulay, ministre de la culture (sic), à la manœuvre - des " progressistes " à une société française qui n'en avait pas franchement besoin: du vrai, du bon sexe, non simulé, au cinéma, accessible aux mineurs...

Ci-dessous, dans un style que je ne renierai pas, ce qu'en pense l'ami Aristide Renou:



" Donc, si je comprends bien, désormais des mineurs pourront aller au cinéma voir des films dans lesquels les cinéastes nous proposent l’intéressant spectacle d’une bite rentrant dans une chatte, ou bien dans un cul, yapaderaison, ou bien d’une bite qu’on suce, ou bien… bref, des organes génitaux en action et en gros plan, pourvu seulement que ces scènes ne soient pas « de nature à heurter gravement la sensibilité des mineurs ». Mais, étant donné qu’on enseigne désormais à ces mêmes mineurs, à l’école, et de plus en plus tôt, que le sexe c’est à la fois festif et inoffensif, que tout est admis en la matière pourvu seulement qu’on ait le consentement de l’autre (des autres) et qu’on mette des capotes, il est bien évident que voir en gros plan papa mettre une bonne pétée dans les miches de maman (qui ne demande que ça, la salope !) ne saurait être considéré comme spécialement choquant. 

On ne voit pas trop non plus pourquoi nos chères têtes blondes devraient encore attendre d’avoir seize ans pour pouvoir bénéficier de ce genre de sympathiques divertissements. La majorité sexuelle n’est-elle pas fixée à quinze ans ? Et quinze n’est-ce pas déjà bien tardif ?



Et hop, passez muscade ! Nos chers « artistes » pourront désormais faire des films contenant des scènes pornographiques qui seront dans le circuit normal de distribution, et ainsi rapporteront beaucoup plus de sous-sous, car on a beau être « artiste », « subversif », « dérangeant » et « rebelle » on n’en apprécie pas moins les attributs du confort bourgeois.


Où est le mal, me dira-t-on, à une époque où le moindre gamin surfant sur internet peut trouver en deux minutes des vidéos de monsieur et madame tout-le-monde en train de se prendre pour des stars du porno ?

Le mal n’est pas immense sans doute, puisque nous sommes déjà tombés si bas, mais il est réel néanmoins. Un film porno (amateur ou pas) regardé sur internet est un acte privé, qui conserve quelque chose du caractère privé que devrait toujours garder la sexualité. Et un film porno regardé en cachette de ses parents conserve quelque chose de la honte qui devrait accompagner toute exhibition de la sexualité. Bref, le vice continu à rendre un léger hommage à la vertu, et à conserver un vague souvenir qu’il est honteux. En revanche, un film regardé au cinéma prend un caractère public, et ce caractère public confère à ce qui est vu une forme d’approbation, de légitimité. A plus forte raison lorsque le film a été très officiellement autorisé.

C’est donc une étape supplémentaire dans l’oubli de ce qu’est la sexualité humaine ; un obstacle de plus pour les parents qui auraient l’ambition, aujourd’hui follement audacieuse, d’élever leurs enfants en respectant leur pudeur naturelle et en respectant la spécificité humaine, qui fait que la maturité physiologique précède presque toujours de beaucoup la maturité psychologique. Une petite saloperie de plus de la part des Jean-foutre qui nous gouvernent.

C’est aussi une étape supplémentaire, petite, mais réelle, dans la dégradation de notre culture. Depuis maintenant des décennies – depuis même un bon siècle sans doute – la plupart de nos artistes et de nos intellectuels se sont battus pour obtenir une totale liberté d’expression. Pour avoir le droit de publier, de diffuser sans limites aucune tout ce qu’il leur plairait de diffuser. Pour avoir le droit d’épater le bourgeois par leur audace « transgressive » mais légalement protégée, bref pour avoir le droit de conchier publiquement tout ce qui est respectable, de moquer toutes les vertus – et de discréditer la notion même de vertu – et de se faire applaudir et subventionner pour montrer des trous du cul en gros plans. Sans vouloir comprendre, les malheureux, que ce faisant ils sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis. Que la « transgression » répétée et institutionnalisée fini par faire bailler tout le monde, que le refus de toute responsabilité politique et morale quand à ce que l’on propose au public fini par ôter à l’art tout sérieux, par le ravaler au niveau de la distraction de bas étage, industrielle, commerciale et vulgaire, que tout « artiste » qui se respecte affecte de mépriser au dernier degré.

La vérité, est que, pour un artiste maître de son art, il n’existe aucune bonne raison de montrer des gens en train de baiser, de décrire de manière crue et détaillée – et donc de manière mensongère – le fonctionnement de nos organes génitaux. A quelques très, très rares exceptions près, seuls les plus médiocres ont recours à cette facilité qui est presque toujours antinomique avec la profondeur de l’analyse et la beauté de l’expression. Lorsque Julien quitte madame de Reynal, Stendhal nous informe juste qu’il « n’avait plus rien à désirer ». Cela suffit amplement. En eut il dit plus qu’il en aurait fatalement dit beaucoup moins. Il aurait détourné son attention, et celle de son lecteur, de ce qui se passe dans l’âme de ses protagonistes, qui est infiniment plus important, et, en écrivant de manière impudique sur la sexualité, il aurait rendu plat, trivial, et faux cela même qu’il aurait mis au premier plan. Ce qui doit être caché ne peut pas être montré. C’est aussi simple que cela. Vous pouvez toujours essayer, vous n’y arriverez pas.

Alors allez-y, filmez des culs, des cons et des bites, montrez-nous complaisamment papa dans maman, obtenez le droit d’exposer le plus grand nombre à vos chefs-d’œuvre. Vous y gagnerez peut-être, pendant un court moment, un peu d’argent en plus, et l’impression grisante d’avoir vaincu encore un « tabou ». Et puis ensuite allez pleurer sur la « marchandisation » du monde, sur la vulgarité des goûts du public, sur son indifférence à l’art, à la culture, à la subtilité. Allez vous indigner sur les scores d’audience de Cyril Hanouna ou les ventes de « Cinquante nuances de Grey ».

N’est-ce pas vous qui nous avez appris que la modération et la pudeur sont dépourvus de sens ? N’est-ce pas vous qui nous avez convaincu que, comme le dit le poète, il vaut mieux étrangler un enfant dans son berceau que nourrir des désirs inassouvis ? N’est-ce pas vous qui avez ouvert toute grande la porte à la bêtise et à la vulgarité ? Pourquoi voudriez-vous que Fritos préfère vos nanars prétentieux et vaguement salaces (on trouve tellement mieux sur internet) à « Ouch, mes couilles ! » ? Ça au moins c’est divertissant. Les fourriers de l’Idiocracy, c’est vous, artistes « transgressifs » et « dérangeants »."

Folie passagère 3428

D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@yahoo.fr

35 commentaires:

  1. Géo

    @Corto

    Tu l as fort bien exprimé,je trouve.
    Les gens qui imposent la vision du sexe tous azimuts et dès le plus jeune âge sont des crapules qui veulent du mal à la jeunesse,dans le but de la blaser prématurément et de la détourner de toute évolution éthique et spirituelle.
    Programme accéléré dans le but d hypertrophier les chakras instinctuels,au détriment des autres,ceux de la communication,de l ouverture du coeur et de la connaissance.
    C est une démarche complètement opposée à celle qui a donné naissance et amené des civilisations à leur âge d or par l apparition de penseurs et de savants dits "universels".

    Nous avons à faire à une clique de malfrats sans aucun scrupule qui appliquent un plan concerté pour faire des peuples une masse informe d abrutis, sans aucun contrôle sur leurs instincts et sans capacité à regarder ailleurs que vers le sol.
    C est l ambiance propre à toute société décadente dont les membres finissent par être persuadés que seul leur corps physique et le monde matériel existent et par là même on fabrique des générations de gens blasés et cyniques sans perspective d avenir,pour mieux les dominer.

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    1. Géo: " et sans capacité à regarder ailleurs que vers le sol " , j aime bien, c'est tout à fait ça

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  2. Et toujours la même question : mais que cherchent ces connards ? Quand ils auront détruit la famille, l'école, l'orthographe, la morale, la société, le bon goût, que la France sera un champ de ruines que feront-ils ?
    S'ils faisaient ça au profit d'une puissance étrangère je n'accepterais pas mais je comprendrais. Là j'avoue mon incompréhension.

    Jipe

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    1. Jipé: suis un peu comme toi, je ne comprends pas cette volonté qu ils ont de tout détruire, de tout niveler par le bas, de salir tout ce qui a pour nous de la valeur. Tu parles d une puissance étrangère, il n y en pas , dansla tête de ces cons, il n y a que le monde qui compte et si possible un monde uniforme à souhait, malléable a merci.

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    2. "Volonté de tout détruire" : La déconstruction. Car il s'agit de cela. Dans les Ecritures on parle d'un certain ange déchu qui se complaît là-dedans.
      Récemment Joe Corre, fils du manager des Sex pistols, a brulé tous les souvenirs de l'époque punk, enregistrements inédits et autres. Ca c'est passé sur une péniche en souvenir d'une époque où les Sex Pistols se faisaient courser sur la tamise.
      Pourquoi a-t-il fait ça ? Pour casser les projets de célébration du quarantième anniversaire du mouvement punk.
      Et il a eu mille fois raison. Punk's dead !
      Cela signifie que la transgression ne saurait être autre chose que transgression. Elle reste dans les marges, uniquement.
      Institutionnaliser la transgression c'est autre chose : embourgeoisement, révolution,... On peut lui donner plein de significations mais quand ça touche aux gosses j'appelle ça de la perversion.

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    3. Vlad: tu résumes tout cela parfaitement, en un mot: Perversion

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    4. Plutôt de la bêtise du côté politique: à ne pas vouloir passer pour des vilains réacs, ils vont faire en sorte qu'il n'y a plus que les réacs qui vont pouvoir choquer. Un signe d'espoir?

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  3. Si on supprimait également l'institution qui délivre les autorisations pour les films, à savoir le CSA ? Et le Ministère de la culture, qui sert principalement à arroser une bande de copains ?

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    1. Jef Koone: ça, supprimer le ministère de la culture (et de la communication ) serait une excellente idée !

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    2. Géo

      A Corto

      Maintenant c est le ministère du Cul?
      Tout cela est voulu,calculé,on ne nous fait pas seulement une guerre financière,économique,politiquement idéologique,mais aussi sur un plan spirituel.

      Les affaires de pédophilie et de rituels satanistes de l oligarchie tarée,oligarchie qui contrôle aussi les instances de l ONU,
      les réseaux occultes de la f.m.spéculative et assimilés,la pieuvre mondialiste.
      Abrutir les peuples,corrompre la jeunesse,détruire les valeurs éthiques d'une civilisation pour y substituer un modèle de maîtres et d'esclaves soumis à leurs volontés.

      Il y a une nette parenté à mon sens entre la politique de dépravation des moeurs menée actuellement et les orgies sacrificielles menées dans l antiquité,le banquet de Sardanapale est un exemple de tableau qui pourrait parfaitement symboliser l esprit des dirigeants de l ombre.
      Par ailleurs,il y a des lignées très anciennes dans cette oligarchie.
      C'est comme les K.fards,ça n aime pas la lumière,ces bestioles,ça agit par le truchement de gouvernants corrompus,arrogants et incapables.

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  4. Comme dirai une voix off dans une publicité:" On est mal, on est vraiment très mal."

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    1. @Grandpas: " très mal " , bah, nous on ne risque plus grand chose, on est blindé mais je plains les juenes d aujourd'hui, pire en core tes petits enfants ...

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  5. Et comme pour vous répondre, mon cher Corto, voici ce qu'écrit l'historien Ivan Jablonka dans son ouvrage : "Laëtitia ou la fin des hommes", racontant l'histoire de Laëtitia Perrais, enlevée et étranglée à 50 mètres de chez elle, dans la nuit du 18 au 19 janvier 2011, par Tony Meilhon. (Je n'ai eu qu'à ouvrir au hasard ce livre que j'ai tour juste commencé à lire) :

    "Le 11 février, peu après midi, Meilhon est extrait du centre pénitentiaire de Vézin-le-Coquet pour être présenté au juge... Il apostrophe les gendarmes à travers la grille :

    "Alors, les gars, vous avez retrouvé la rotule et le tibia ? Dépêchez-vous il vous manque des morceaux. A ce rythme-là, il ne va plus en rester ! Vous êtes dans la merde. Laëtitia, Laëtitia, je t'ai tout mis, j'ai mangé ton foie. J'aurais bien fait un steak tartare avec le reste. Laëtitia, t'étais bonne ! Je pense à toi toutes les nuits, reviens me voir ce soir. Je t'ai découpée en morceaux, les bras, les jambes. Je t'ai mise dans la terre."
    ........................................................................................
    Dans la geôle il se met à chanter parce qu'il a faim :

    "Laëtitia, je t'ai tout mis, je t'ai bien défoncé le cul. Vous avez fait bonne pêche ? Si tu veux que je te dise où elle est, donne-moi à manger. Dépêchez-vous de la retrouver parce qu'il ne va bientôt plus rien rester."

    Il vocifère encore :

    "Je t'aime, Laëtitia-aa ! Laëtitia-aa, je t'aime !"

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    1. Marianne: Vous avez de drôles de lectures mais voilà ce qui arrive à force de tout désacraliser, on fait des gamins puis des gens sans aucun repère pour lesquels plus rien n a de valeur.

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    2. C'est ma fille ainée, mon cher Corto, qui m'a envoyé ce livre par la poste, et honnêtement, je me demande encore si je vais avoir le courage de le lire ?

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  6. Ils ne s'arrêteront donc jamais. Cette énarque socialo est vraiment très fortiche : elle a réussi à "assouplir" le sexe au cinéma !

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    1. Roland: ils ne s'arrêteront jamais ou du moins pas tant qu on les laissera faire.

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  7. Annie

    La nausée. Ou est le romantisme dans tout ça ?

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    1. Annie: le romantisme n'est pas un concept " progressiste ".

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  8. Pourquoi ? Pourquoi ? La réponse est là :

    « Le rêve du socialisme, n'est-ce pas de pouvoir faire asseoir l'humanité, monstrueuse d'obésité, dans une niche toute peinte en jaune, comme dans les gares de chemin de fer, et qu'elle soit là à se dandiner sur ses couilles, ivre, béate, les yeux clos, digérant son déjeuner, attendant le dîner et faisant sous elle. »

    Gustave Flaubert à Louise Colet (1854)

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    1. @anonyme: tiens, il me semble avoir déjà lu ça quelque part :)

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  9. Corto: bravo pour ce coup de gueule!
    Cette marchandisation du sexe est le symbole de la dépravation de la gauche sous les ères successives de Mitterrand,puis de Hollande.
    Des "salons parisiens" incultes omnipotents.Des "autorités " normalement chargées de protéger la jeunesse qui la livrent au showbiz' du sexe...
    Un président trouvant une égérie dans une reine du porno...

    Qu'espèriez vous de ces gens là?
    Je rejoins Annie: la nausée!

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    1. Gridou: Perso, je n'attendais rien de ces gens là, j 'avais même prévu cette catstrophe qu aura été ce quinquennat

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  10. Vous avez parfaitement exprimé l'état des lieux. Le mots me manquent pour dire à quel point je suis dégoûtée. J'appréhende les mois qui restent...

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  11. Sachant que les socialots ne condamnent en aucune manière les mariages islamiques avec des femmes-enfants il coule de source que l'état ne peut faire autrement qu'inciter la jeunesse à se mettre au courant des pratiques dans un lit . Les tournantes dans les caves seront banalisées dans les 5 ans si la gauche revenait au pouvoir . Pauvre gente féminine et gente masculine ,mon regard vers Lang et bien d"autres.

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  12. Corto
    Rien à ajouter,je partage entièrement ton coup de gueule et me pose la même question que bon nombre de tes lecteurs:"Pourquoi?"
    Et me rappelle d'où vient Julie...
    Ils auront vraiment semé leur merde partout,et je plains les parents d'adolescents...

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  13. Le marxisme culturel ou marxisme occidental, comme le communisme, vise à créer un homme nouveau, une nouvelle façon de penser, opposée à l'héritage ethnique et culturel des nations occidentales :

    - Subversion des valeurs de la culture occidentale et création d'un homme uniformisé dans un monde abstrait ;
    - Destruction des nations, éclatement de la famille traditionnelle et de la société blanche, y substituer la famille monoparentale et homoparentale, l'éradication de l'homme blanc, le féminisme radical, le genre, le muselage de la parole, le crime de la pensée ;
    - Dénigrement systématique du catholicisme et promotion de l'islam ;
    - Immigration tsunami ;
    - Culpabilisation des victimes et tolérance envers les criminels, inversion accusatoire ;
    - Contrôle et abrutissement des masses grises par les medias, propagande, manipulation mentale, désinformation, false flags, psyops, etc …

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  14. Il est curieux de constater qu'en Europe les pays où il y a eu un ministère de la culture sont l’Allemagne nazie, l'Italie fasciste et la France...étonnant non?

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    1. GfB: oui, étonnant et pourtant vrai, maisà quoi sert-il donc ce ministère ?

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  15. Et j'ai oublié bien sur l'ex URSS.

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  16. Entièrement d'accord! Quelles dangereuse conneries vont-ils bien pouvoir inventer avant de laisser la place? C'est la politique de la terre brûlée. Ceux qui vont arriver derrière eux auront d'autant plus de mal à redresser la barre. Ce pays est foutu!

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    1. Le problème est que la gauche sème des lois nocives qui restent. La question est, pourquoi la droite, une fois au pouvoir, ne les abroge-t-elle pas alors que ses adversaires ne se privent en rien de le faire avec les lois qui leur déplaisent quand ils prennent le pouvoir?
      Avons-nous vraiment une Droite?

      Le Page.

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    2. Le page et Pangloss: avons nous une vraie droite ? Non, nous sommes d accord mais nous avons une droite celle qu on devrait mettre dans la troche de tout ceux qui approuvent, valident ou ne font rien contre ce genre " d'évolutions "

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  17. Nous progressons... en marche arrière. Il paraît que chez nos cousins Bonobos virtuoses des pratiques sexuelles, celles-ci contribuent à maintenir la paix sociale...



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    1. Mira destra: il est clair que pendant que l homme fornique, il ne fait rien d autre :)

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