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mardi 22 septembre 2015

70 exécutions capitales et 4 000 000 de pages vues

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Faisal Bin Hassan Trad, nouvel expert de l'ONU pour les Droits de l'Homme

Quelle curieuse impression... Partir 5 jours dans un lieu reculé sans prendre en tout plus de 10 minutes pour voir ce qui se passe dans le monde et l'impression d'être totalement déconnecté... Comme si j'avais loupé plusieurs épisodes d'une série à laquelle j'aurais été addict... Qu'a-t-il bien pu se passer ? 

Oh, j'ai bien entendu parler de certains trucs: d'un match de foot entre l'OL et l'OM qui a mal tourné, de Volkswagen qui a triché, de Noah qui reprend la tête de l'équipe de France de tennis, de l'invasion de migrants, d'un octogénaire qui a aidé sa femme à mourir et qui sans doute n’écopera que de sursis, du pape qui va à Cuba... voyez, j'ai entendu parler de... j'ai ouï dire, des bribes d'infos me sont parvenues mais difficile de remettre en route tout le logiciel qui organise le cerveau du blogueur de droite. 

Il y a néanmoins une info qui m'a fait lever un cil; info qui ne semble pas avoir faire la Une d'Itélé ou de BFM, mais peut-être me trompe-je, et sans doute reconnue comme sans importance puisque même sur le site de l'Elysée on n'en parle pas... 

Rendez-vous compte, l'Arabie Saoudite prend la direction du panel du Conseil des droits de l’homme de l’ONU ! C'est-y pas de la bonne ça ? Doivent bien se marrer les Sunnites ! Cette si charmante dictature a été désignée par le conseil de l'ONU pour prendre la tête du machin qui a la charge de nommer les cinq hauts fonctionnaires qui édictent les standards internationaux, de choisir les personnes qui vont occuper plus de 77 postes relatifs à la défense des droits de l’homme dans différentes régions du monde et d’informer sur les violations perpétrées en matière de droits de l’Homme. Oui, oui, vous avez bien lu, le pays qui a au compteur, cette année, plus de 70 exécutions capitales à son actif, qui n'hésite pas à ordonner la lapidation ou la décapitation des femmes " infidèles ", qui condamne un blogueur à 1 000 coups de fouet, qui interdit aux femmes de conduire ou de voyager sans l'aval de leurs maîtres, qui s'apprête à zigouiller un opposant politique tout juste âgé de 21 ans etc... va désigner pour le compte de l'ONU les experts internationaux en matière de Droits de l'Homme. Mais c'est à mourir de rire ! Ou à se prendre la tête dans les mains ! A pleurer, peut-être ... 

Et je n'ai trouvé trace d'une quelconque indignation de nos dirigeants. Pas un mot de Président, de Fabius, de Ségolène, de Cazeneuve, de Taubira ( drôlement discrète celle-ci en ce moment, c'est pas bon signe...),... A se demander si la gaucholalie a été informée du truc !  Faut tout de même avoir présent à l'esprit que si cette décision est aussi étonnante que scandaleuse, on a déjà vu pire dans ce monde de fous, elle n'a pas pu être prise sans l'aval de Président, d'Obama ( prix Nobel de la paix) ou bien encore de David Cameron... Que ces charlots ne nous viennent plus nous parler des Droits de l'Homme ! J'ai dit !

Bon ceci mis à part, pas grand chose d'autre à se mettre sous la dent... Aurais-je loupé quelque chose d'autre... quelque chose d'important, il va de soi ? A vous de me le dire...

Ah si, il y a une autre info qui sera probablement passée sous silence par les médias: A l'heure où je vais publier ces quelques lignes, sans grand intérêt je vous l'accorde (les droits de l'homme ont-ils encore un intérêt quelconque ?), ce blog vient de franchir le cap des 4 000 000 de pages vues, à peine 7 mois après avoir franchi celui des 3 millions !

Merci à toutes et à tous !

Et un grand merci à la socialie qui chaque jour nous donne de quoi alimenter nos blogs !

Folie passagère 2910.
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D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr

vendredi 9 août 2013

Mes adieux aux gauchiards...


P'tain, j'ai un créneau de libre, je fais donc un billet, un billet d'adieu; pas un au revoir, un adieu, un vrai. Mes adieux aux gauchiards uniquement; aux gauchiards comme Jegoun, ses affidés et autres porte-flingues. Dès publication du présent billet, le gauchiard aura disparu de mon espace et de ma sphère.

Mais tout adieu mérite explication, je m'en voudrai qu'ils se morfondent et qu'ils se battent la coulpe en se disant: Mais pourquoi, pourquoi est-il parti? Sur qui pourrons-nous taper? De qui pourrons-nous nous moquer? Qui pourrons-nous insulter maintenant? Qu'avons-nous fait pour qu'il veuille ainsi nous snober... Ainsi donc, je leur dis adieu car je viens de réaliser - je sais, des fois je suis long à la détente - qu'ils me faisaient perdre mon temps. Qui plus est, ces gauchiards m'emmerdent de plus en plus dans le sens où rien de ce qu'ils racontent désormais ne m’intéresse; fut un temps, oui, il y avait du sel et de la joie dans leurs discours ou dans leurs billets de blogueurs, aujourd'hui, je les trouve tristes. Je les trouve gauchiards.

Gauchiard, le terme qui, à défaut d'être véritablement insultant, nécessite quelques explications. Le gauchiard est nécessairement de gauche mais tous les gauchistes ne sont pas gauchiards. Il y a des gauchistes sympathiques, je ne connais pas de gauchiard plaisant. Le gauchiard, c'est un  peu comme une rate ou un cloporte, vous l'expulsez, il revient par la porte, la fenêtre, twitter ou facebook, il s'infiltre. Le gauchiard (si il est blogueur, son maître-étalon sera sa Sérénissime Jégoun, de Partageons Mon Avis et autres rades) a toujours raison, il est la Vérité et la Vie. Il sait. Moi, les gens qui Savent, ces Sachants de la glotte et du doigt sur le clavier, me fatiguent de plus en plus. Ils ne doutent de rien, et surtout pas de leur idéologie, à mon sens mortifère, sur bien des points de vue. Ils ne doutent de rien alors que nous sommes dans une période où il est permis de douter de tout. Là où, forts et fiers de notre passé et de notre Histoire, nous devrions nous interroger sur le sens de la vie, sur demain, sur de nouveaux modèles de société et sur de nouvelles options politiques  ou d'autres modèles économiques, le gauchiard en reste aux 35 heures, aux acquis sociaux du temps où c'qu'on était riche, aux 5 semaines de congés payés, aux gender studies, aux bienfaits de la diversité et à une laïcité toute particulière. Il se dit force du Progrès mais, sous couvert de modernité, il nous précipite dans des abîmes où l'Homme perdra son âme. 

Le gauchiard vomit tout ce qui n'est pas lui, tout ce qui ne vient pas de lui et par lui. Le gauchiard déteste, critique, insulte: les vilains capitalistes, les riches, ceux qui réussissent, ceux qui ne pensent pas comme lui, ceux qui ont le mérite de ne pas vouloir être assisté, ceux qui sont pédés mais qui ne veulent pas du mariage zinzin, les catholiques, les réacs, Depardieu, Céline, Muray, Bastiat, Luchini ou Gérard Lanvin. Sans oublier Koh Lanta ou L'amour est dans le Pré même s'il passe des heures à regarder ou à commenter; en mal, bien sûr. Il hait les banquiers mais est prêt à les sucer pour une augmentation de découvert. Il n'aime pas son voisin si celui-ci est à l'UMP ou au FN. Le gauchiard n'aime pas ce qui ne lui ressemble pas.

Si le gauchiard vomit, il est aussi capable d'aimer, il s'aime; il aime donc ou encense: Mandela, Moustaki, Josianne Balasko, Richard Descoing, Aimée Césaire, Jaurès, Blum, le FLN, Barbara, Rosaëlle, Jack Lang ou Pierre Bergé, Arte, Télérama, Piketty, le hip-hop, le rap et le street-art, la culture subventionnée et Paris-Plage. Il aime la bière, ça fait roter. La bien-pensance et le politiquement correct sont ses armes et ses propres garde-fous: Le conformisme dans lequel il s'ébroue. Contre vents et marrées, Sisyphe, le gauchiard défendra Pépère et tout ce qui l'a précédé. Le changement, c'est maintenant qu'il disait, le gauchiard ne se pose même plus la question de savoir quand. Il aime ses copains à pseudos, il ne supporte pas l'anonymat de ceux du camp d'en face.

Le gauchiard blogueur, de surcroît blogueur de gouvernement, c'est un concentré de tout ce qui précède. Lui seul fait des billets-qui-ont-du-fond. Le blogueur de droite, celui qui se rebiffe, celui qui dit non aux gauchiards, qui fait des billets spontanés, coups de gueules et qui " réussit " l'insupporte car ce dernier, cela va de soi, n'argumente jamais, ment, travestit la réalité, nie les évidences, fait des billets de con pour des cons. Les commentateurs du blogueur de droite - que celui-ci "s'évertue à exciter" - ne sont pas des commentateurs, ce sont "des fans ". Pour le gauchiard-blogueur, le blogueur de droite, forcément prétentieux, ne supporte pas la contradiction tandis que lui est ouvert à toutes discussions, n'est-ce pas ? Le gauchiard-blogueur, névrotique sans doute, jaloux peut-être, va vous pondre une dizaine de billets pour (tenter de) ridiculiser le blogueur de droite qui n'a pas l'heur de lui plaire. Le gauchiard-blogueur qui, généralement chasse en bande, ira fouiller vos archives afin d'essayer de vous mettre face à vos contradictions de blogueur de droite en oubliant simplement que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis et qu'il est possible, même à un affreux droitard d'évoluer et d'avancer. Le gauchiard-blogueur, mandarin à ses heures, a émis un diagnostic qui ne se discute pas: si vous ne baissez pas la tête, c'est parce que vous êtes fou ! C'est aussi simple que cela.

Voilà, nous sommes à l'aube d'un jour nouveau, celui où j'aurai dit adieu aux gauchiards. Ils me sont devenus incolores, inodores et sans saveur. Ils m'apparaissent petits. D'aucuns, de ces gauchiards, diront que j'ai capitulé devant leurs assauts répétés et leurs railleries incessantes... Que nenni, ils me sont devenus insupportables au sens littéral du terme, ils ne m’intéressent plus. Je ne répondrais plus à leurs tweets, à leurs messages, à leurs commentaires entendus, convenus et si prévisibles; mieux, il me faudra tirer la chasse sur ces gens-là, vidanger, nettoyer, dépolluer. Pas de temps à perdre, pas d'énergie à gaspiller.

Jegoun, Bembelly, Burlot, Fred et consorts, allez vous pignoler sur d'autres magazines, allez donc voir ailleurs si j'y suis, et surtout, surtout, ne cessez pas de vous hausser du col, ne changez rien à vos habitudes (sauf celle de venir polluer mon espace), continuez à être vous-mêmes: ça devient de plus en plus rigolo ou pathétique, au choix. Pour une fois, soyez bons, surpassez-vous, montrez-vous à la hauteur du défi que je vous lance: Laissez moi continuer ma petite vie de blogueur de droite, Oubliez-moi !

Merci.

Folie passagère 1845.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr

dimanche 30 juin 2013

Ecrire et gagner le million !


Si, si, je vais m'autocongratuler, là où il y a de la gène, y a pas de plaisir, comme disait ma grand-mère. Alors bravo à moi-je-personnellement: ce blog, ce matin, a franchi le cap du million de pages vues. Ecrit en chiffres, ça le fait plus encore: 1 000 000 de pages vues depuis le 12 avril 2011!

Bon, vous me direz, c'est ce que doit faire le Figaro ou le Monde en deux jours; moi, il aura fallu un peu plus de deux ans pour y arriver. Ça permet de relativiser et de rester humble. Mais en même temps, cela rassure, si tant est que l'on ait besoin d'être rassuré... L’œil n'est pas rivé sur le compteur, ce serait idiot et contre-productif, mais de savoir que chaque mois, le nombre de visiteurs, de commentaires déposés et de pages vues sont en augmentation vous conforte dans l'idée que ce que vous écrivez n'est pas que ridicule. Ce que vous écrivez plait et d'aucuns s'y retrouvent soit pour critiquer soit par adhésion soit parce que ce que vous écrivez... ils auraient aimé l'écrire.

Ecrire n'est pas chose simple car cela requiert une certaine forme de discipline: se renseigner sur le sujet que l'on aborde, faire attention à la syntaxe et à l'orthographe, dire le moins de conneries possibles ( ou alors le faire intentionnellement et avec style, certains le font très bien , d'autres s'y perdent ), être cohérent avec soi-même ( ce qui n'empêche nullement d'évoluer sur tel ou tel sujet ), rester soi-même. A défaut, vous perdez toute crédibilité rapidement.

Après, encore faut-il écrire des trucs dignes d'intérêt. Si je me mets, par exemple, à ne traiter que de l'incontinence chez les vieux ou du prix de la bière, ça passera une fois, peut-être deux fois et puis basta, ça va me lasser et vous aussi. Si, autre exemple, suivez mon regard, je me mets à taper à longueur de billets, par pure bêtise, méchanceté ou sectarisme, sur telle ou telle personne, le premier vous intéressera sans doute, le deuxième vous fera rire peut-être, le troisième... vous ne le lirez plus jusqu'au bout et irez lire ailleurs. Normal.  De la même façon, si vous avez la prétention de faire dans le politique, les sujets de société, l'économie etc..., vous vous obligez à donner un minimum de fond à votre prose, vous êtes tenus d'argumenter, sinon, même punition.

Mais pourquoi écrit-on ? Pourquoi blogue-t-on " politique " ? De multiples raisons: parce que vous ne vous y retrouvez pas dans ce qui est publié ou dit ailleurs, dans les journaux, les blogs ou les médias, parce que vous en avez marre de la désinformation ambiante, parce que vous en avez assez de laisser le terrain libre à vos adversaires, parce que ce que vous avez à dire vous ne l'avez pas entendu ailleurs, parce que vous réalisez qu'il est bien plus intéressant de lutter contre le politiquement correct que de se laisser bouffer par, parce que vous avez envie de partager vos moments de joie, vos coups de gueules et vos indignations, parce que vous avez saisi, au vol, un événement dont personne n'a parlé, parce que vous avez envie d'informer, parce que vous aimez réfléchir et vous frotter à la contradiction, parce que vous ne pouvez pas vous taire lorsque vous comprenez vers quel désastre nos dirigeants nous emmènent, parce que vous vous êtes tus trop longtemps, parce ce que majorité n'est pas nécessairement raison ou vérité, parce qu'à l'occasion cela vous a permis de faire des rencontres bien réelles, parce que vous voulez vous confier, parfois... Ou tout simplement parce que vous aimez écrire et savoir que vous êtes lus y compris par ceux du con camp d'en face.

Après, que penser ou que faire de ceux qui vous critiqueront ? Et il y en aura, d'autant plus que votre blog et donc vos écrits acquerront une certaine notoriété (toute ridicule sur la toile, perceptible dans la blogosphère )...  Et bien que si ils vous critiquent intelligemment, vous les accueillerez avec plaisir et tenterez de débattre et d'argumenter; pour les autres, c'est assez simple, il suffira de tirer la chasse.

Ecrire, qu'écrire, comment écrire, pourquoi écrire ? Avant tout, pour le plaisir; après tout, pour pouvoir remercier ceux qui vous suivent depuis peu ou depuis si longtemps.

 à Marianne, Boutfil, Didier Goux, Al West, Lady Waterloo, Francis, Franzi, Nana, Cyrielle, Fanfan, Vieille Réac, Loc, Titi, Claude-Henri, Grandpas, Claribelle, Vonflern, Michelle, Nouratin, Vlad, Io Froufrou, Fredi m., Le Plouc, La Mouette, Mat, La Plume, Le parisien Libéral, Tambour major, L'hérétique, Jacques Etienne, Koltchack, Pierre, Minijupe, Pascale Ghorbal, et tous les autres....

Folie passagère 1780.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr

jeudi 6 septembre 2012

Je ne connaissais pas Frédo



Oui, je ne connaissais pas Frédo mais je connais bien sa maman. 

Celle-ci est une " vieille " connaissance; bientôt 4 ans qu'elle me suit sur mon blog, quotidiennement. Sans aucun doute la lectrice la plus fidèle, la commentatrice la plus assidue. Au bout du bout, cela fait d'elle une amie, obligatoirement. Nous n'avons pas eu l'occasion de nous rencontrer, physiquement, la distance pour principale excuse, mais de billets en billets, nous nous sommes appréciés. A tel point que fut un temps où elle avait table ouverte ici, près de 50 billets elle publia.

Lorsqu'elle doit s'absenter, quelques jours, pour des vacances, par exemple, elle me prévient toujours, des fois que je m'inquiète de sa désaffection toute passagère. Alors, quand au bout de quelques jours, son prénom n'apparait pas en commentaire, forcément, je me fais du souci. Obligatoirement, il s'est passé quelque chose.

Il s'est passé quelque chose; je m'en doutais.

Ce matin, elle m'a téléphoné. Parce qu'en plus, elle a mon numéro de téléphone. Parfois, on se bigophone pour échanger, pour se refiler un tuyau, une impression, une idée de billet ou plus simplement se dire bonjour.

D'un ton expéditif que je ne lui connaissais pas, bizarrement moins assuré que d'habitude, elle m'a dit d'aller voir sur tel site les raisons de son silence. J'ai été voir. Son fils, Frédo, est parti. Pour fort longtemps, pour un endroit dont on ne revient pas.

Je ne sais pas si ce billet est de ce genre de billet que l'on doit faire lorsque l'on sait quelqu'un dans la peine, la souffrance et la tristesse, possible. Peut-être aurait-elle voulu que je n'en parle pas, que je ne dise rien... possible.

Sauf que Marianne, elle fait partie des meubles, elle est de ce blog, comme moi. Une amie. Forcément, je ne pouvais pas me taire et ne rien dire, je ne pouvais pas ne pas penser à elle et à toute sa famille.

Avec toute mon affection,

dimanche 29 juillet 2012

Noir sur Blanc

Voilà, c'est écrit noir sur blanc ! Alors heureuses, heureux ? Vous me direz ce que vous en pensez. Perso, ça me va, c'est pour les photos... j'ai un doute...


Bon et bien nous verrons à l'usage...

D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr

France, 2019.