Cette femme est folle, j'avais déjà évoqué son cas ICI,... mais elle ne le sait (toujours) pas. Le journal Libération lui donne néanmoins la parole...
Beatriz Preciado est philosophe (rigolez pas), directrice du programme d'études indépendantes au Musée d'Art Contemporain de Barcelone. Elle s'insurge contre la loi que le gouvernement espagnol conservateur s'apprête à faire adopter, loi limitant l'accès à l'avortement... Vous êtes assis ? Accrochez-vous...
Sa tribune est intitulée: "Déclarer la grève des utérus "
" Enfermés dans la fiction individualiste néolibérale, nous vivons avec la croyance naïve que notre corps nous appartient, qu’il est notre propriété la plus intime, alors que la gestion de la plupart de nos organes est assurée par diverses instances gouvernementales ou économiques. Parmi tous les organes du corps, l’utérus est sans doute celui qui, historiquement, a fait l’objet de l’expropriation politique et économique la plus acharnée. Cavité potentiellement gestatrice, l’utérus n’est pas un organe privé, mais un espace public que se disputent pouvoirs religieux et politiques, industries médicales, pharmaceutiques et agroalimentaires. Chaque femme porte en elle un laboratoire de l’Etat-nation, et c’est de sa gestion que dépend la pureté de l’ethnie nationale.
Depuis quarante ans en Occident, le féminisme a mis en marche un processus de décolonisation de l’utérus. L’actualité espagnole montre que ce processus est non seulement incomplet, mais encore fragile et révocable. Le 20 décembre, le gouvernement de Mariano Rajoy a voté l’avant-projet de la nouvelle loi sur l’avortement qui sera, avec l’irlandaise, la plus restrictive d’Europe. La loi de «protection de la vie du conçu et du droit de la femme enceinte» n’envisage que deux cas d’avortement légal : le risque pour la santé physique ou psychique de la mère (jusqu’à 22 semaines) ou le viol (jusqu’à 12 semaines). Mais encore, un médecin et un psychiatre indépendant devront certifier qu’il y a bien risque pour la mère. Le texte a suscité l’indignation de la gauche et des féministes, mais aussi l’objection du collectif des psychiatres qui refusent de participer à ce processus de pathologisation et de surveillance des femmes enceintes annihilant leur droit à décider pour elles-mêmes.
Les politiques de l’utérus sont, comme la censure et la restriction de la liberté de manifester, de bons détecteurs des dérives nationalistes et totalitaires. Dans un contexte de crise économique et politique de l’Etat espagnol, confronté à la réorganisation du territoire et de son «anatomie» nationale (pensons au processus de sécession de la Catalogne, mais aussi au discrédit croissant de la monarchie et à la corruption des élites dirigeantes), le gouvernement cherche à récupérer l’utérus comme lieu biopolitique dans lequel fabriquer à nouveau la souveraineté nationale. Il imagine qu’en le possédant il parviendra à figer les vieilles frontières de l’Etat-nation en décomposition.
Cette loi est aussi une réponse à la légalisation du mariage homosexuel acquise durant le mandat du précédent gouvernement socialiste et que, malgré les tentatives récurrentes du Parti populaire (PP), le Tribunal constitutionnel a refusé d’abroger. Face à la remise en question du modèle de la famille hétérosexuelle, le gouvernement Rajoy, proche des intégristes catholiques de l’Opus Dei et du cardinal Rouco Varela, entend aujourd’hui occuper le corps féminin comme lieu ultime où se joue, non seulement la reproduction nationale, mais aussi la définition de l’hégémonie masculine.
Si l’histoire biopolitique pouvait être racontée cinématographiquement, nous dirions que le PP prépare un frénétique porno gore dans lequel Rajoy et son ministre de la Justice, Ruiz Gallardón, plantent le drapeau espagnol dans tous les utérus de l’Etat-nation. Voici le message envoyé par le gouvernement aux femmes du pays : ton utérus est un territoire de l’Etat, domaine fertile pour la souveraineté nationale catholique. Tu n’existes qu’en tant que mère. Ecarte les jambes, deviens terre d’insémination, reproduis l’Espagne. Si la loi que le PP propose prend effet, les Espagnoles se réveilleront avec le Conseil des ministres et la Conférence épiscopale au fond de l’endomètre.
Corps né avec utérus, je ferme les jambes devant le national catholicisme. Je dis à Rajoy et Varela qu’ils ne mettront pas un pied dans mon utérus : je n’ai jamais enfanté, ni n’enfanterai jamais au service de la politique espagnoliste. Depuis cette modeste tribune, j’invite tous les corps à faire la grève de l’utérus. Affirmons-nous en tant que citoyens entiers et non plus comme utérus reproductifs. Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie… et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique. N’enfantons pas pour le compte du PP, ni pour les paroisses de la Conférence épiscopale. Faisons cette grève comme nous ferions le plus «matriotique» des gestes : une façon de déconstruire la nation et d’agir pour la réinvention d’une communauté de vie post-Etat nationale où l’expropriation des utérus ne sera plus envisageable. "
Alors, cela vous a-t-il plu ? Avez-vous ri ? Vomi ?...
Moi, j'dis qu'avec des féministes de cet acabit, les mâles ont encore de beaux jours devant eux
Folie passagère 2097.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
"Je dis à Rajoy et Varela qu’ils ne mettront pas un pied dans mon utérus"
RépondreSupprimerIl doit être de belle taille ! A moins que cess politiciens ne chaussent (très) petit...
"Tout ce qui est excessif est insignifiant", "Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." ou comme on dit dans ma campagne " Le trop et le trop peu gâtent le jeu" !
RépondreSupprimerPourquoiPas
@jacques Etienne: avouez que cela eut été dommage de passer à côté de cette tribune,non ? Son dernier paragraphe est une pure merveille !
RépondreSupprimer@Pourquoi pas: possible que l excessif soit insignifiant mais en attendant, qu'est-ce que c'est bon de rire des élucubrations de cette philosophe de pacotille
RépondreSupprimerJe suis en plein dilemme Corto.
RépondreSupprimerLimite, ça m'ennuie de ressentir ça, et même de penser ça, mais avec ma compagne on se dit pourquoi pas avoir un enfant; on a l'âge, ça fait longtemps qu'on est ensemble, mais les projets de société que les progressistes sont entrain de fabriquer, les multi-récidivistes laissés en liberté par des juges de gauche me font avoir de très gros doutes à inculquer à mes éventuels futurs enfants des valeurs, et je crains d'être en permanence angoissé qu'il puisse tomber sur un prédateur.
Je crois que j'aimerai avoir le courage de passer outre ces craintes, mais l'idée que sa progéniture puisse être mise entre les mains de gens comme ça m'effraie. Sans doute suis-je un peu trop parano, mais aurai-je réellement les armes de lutter contre le progressisme?
J'hésitai à en parler car je serai triste de diffuser mon angoisse, d'autant que je salue le courage des parents qui arrivent à lutter contre ce courant mortifère. Puis on ne va pas se mentir, mais nous sommes dans une société de mensonge où toutes les valeurs sont inversées, où la sexualité est au centre de la vie politique, alors me voilà tiraillé entre mon envie d'être père et la peur de ne pas pouvoir protéger mon enfant.
Parfois je me dis que je n'aurai jamais du m'intéresser à la politique, mais c'est impossible. J'aime bien savoir où je mets les pieds avant d'aller dans un endroit.
@Pierre: Ola, ne sois pas plus parano que necessaire. Tu veux un môme, tu en fais un, après ce sera trop tard, à toi de veiller à ce qu il devienne adulte ! Après, c'est son problème. Enfin, je crois...
SupprimerMerci m'sieur pour le conseil. J'avoue que je penchais aussi pour cette solution. D'autant plus que quand je vois les nombreuses forces vives se réveiller ici et là, j'ai le devoir de rester optimiste. En te répondant je me dis que nous sommes nombreux à nous méfier, donc je ne suis pas seul. Donc (ça fait beaucoup de donc) les choses peuvent changer.
SupprimerA vouloir être réaliste, j'ai noirci le tableau, plus que je n'aurai du.
La bonne soirée.
Si j'avais lu cette nana avant de procréer j’aurais hésité.
SupprimerLe plus drôle est que j'ai acheté à la naissance de Charlotte, mon aînée, un livre du MLF, "Du côté des femmes" enfin, je crois que c'était le titre. Charlotte avait neuf mois, lorsque je me suis aperçue qu'elle nourrissait son ours avec des cubes qui servaient de dînette. J'ai résisté, trois jours, un temps d'observation. Puis me suis précipitée dans un magasin de jouet pour acheter, poupée, dînettes..
J'ai direct embrayer sur les trucs de filles puis "Martine" et tout. ma fille aînée a fait de belles études et bosse, un super boulot, ayant trois enfants, elle préférerait ne pas travailler, mais bon, la situation est ce qu'elle est..
Mon second fut un garçon qui a aussi joué à la poupée avec moins de passion cependant. Il préférait les trucs débiles: voitures, et vélos.
Un bébé, c'est quand le couple veut et si il veut, on ne maîtrise rien après. Si j'avais attendu de maîtriser quoi que ce soit, je n'aurais pas d'enfant, il faut savoir néanmoins que cela bouleverse la vie, et que le bébé idéal n'existe pas, mais notre bébé nous charme, nous séduit, nous surprend.
Autrement dit, un bébé c'est une aventure, sept enfants sont sept aventures, et après à chacun de décider de sa vie.
Merci Lady Waterloo.
SupprimerCa m'éclaire un peu plus, notamment sur le fait qu'un enfant c'est une aventure, celle de la vie, et j'avais jusqu'alors du mal à comprendre comment je devais appréhender ce moment, celui où on est en âge d'être parent et qu'un couple commence à y penser.
Du coup, il me semble que faire un enfant est un acte spontané, d'amour entre deux personnes, plus qu'un acte réfléchi, préparé, rationnel. Moi j'étais sur ce versant. J'émets un certain jugement sur la société, et de là je me dis qu'avoir un enfant ne serait pas forcément stratégique pour lui. Au delà de ce qui est enseigné à l'école dans la théorie dite du genre. Ya les pétards, l'alcool, les mauvaises rencontres... Et en fait je n'abordais pas ces soucis avec légèreté, ce qui me freinait un peu pour passer à l'acte.
L'enfant peut encore être abordé avec légèreté, et vous me confortez dans cette décision, que je vais être amené à prendre bientôt.
Merci pour votre réponse, et pardonnez-moi ces questions, qui pourraient être prises pour un manque certain de pudeur. Au final vos réponses me seront très précieuse, et j'espère que ce sera là le principal.
Une bonne soirée à vous.
Bonne soirée Pierre... et fonce !
Supprimer@atoilhonneur corto
RépondreSupprimerPlaton, Aristote ......au secours !
PourquoiPas
@PP : Dans le cas de cette chose, Platon ou Aristote ne seront d aucun secours, la seule issue possible, c'est Charenton
Supprimersont pires que Dieudonné ceux la !!!
RépondreSupprimerla folie à l'état pur .. il y a quand même en Europe une nette tendance à la dérive sur tout ce qui touche aux valeurs ancestrales du couple de la famille et des enfants ...No limits !!! c'est très très inquiétant cette pourriture de l'esprit ... ils ou elles ne savent plus quoi inventer !!! doivent consommer des trucs bizarres ces gens la !!
si c'est cela l'avenir de l'homme et le progrès ....
@Philz: Avoues que tu m en aurais voulu de la passer sous silence celle-là ? Oui la folie; tout le truc, c'est qu elle n est pas la seule à penser ainsi. La décadence, non ? Plutot que l'avenir...
SupprimerDécoloniser son utérus? Et mes ... genoux alors? (j'ai écrit "genoux" mais je suis bien sûr que tu vois de quoi je veux parler).
RépondreSupprimer@]Pangloss; oui,, oui, décoloniser son machin. J avais le souvenir qu il y avait passage du vagin d abord mais bon. Tu verras que cette dingue osera un jour réclamer une journée à la mémoire des utérus colonisés !
SupprimerPour celle-là, il faut une mesure d'internement d'urgence,où il faut la mettre sous globe.Ne la laissez pas dans la nature elle pourrait faire des petits.
RépondreSupprimer@IFUKU: Si j en crois son dernier paragraphe, nous ne risquons pas la multiplication de petits monstres en son genre puisqu elle refuse d'ouvrir les jambes. Non, la où c'est plus problématique c'est la diffusion " spirituelle " de son oeuvre
SupprimerDieu merci, elle n'a pas fait d'enfants ! et je comprends que personne n'ai voulu aller " coloniser " son utérus, pas fou les mecs.....
RépondreSupprimer@Boutfil: tu m étonnes, grave allumé la gonzesse. J en viens à guetter ses écrits tant ils me font marrer ! Elle est folle, définitivement. mais en Espagne, elle est fort connue et ... pire reconnue !
Supprimerphilosophe ? qui décerne ce titre ?
RépondreSupprimerelle parait surtout bien " secouée", bien folle etc.... pourvu effectivement qu'elle ne se reproduise pas et ne soit pas mére de famille...
à noter :elle pense que son esprit lui appartient
vous avez raison, Corto, cela fait rire, tellement c'est absurde
@Anne: Bien vu, je ne connais pas d 'esprit totalement libre. Elle s'est totalement libérée la gamine y compris de tout ce qui est neurones. Une folle ! Philosophe, quelle mauvaise pub pour la philosophie.
Supprimerbonjour cher corto
RépondreSupprimerWouah ! c'est du lourd !
comme souvent, le droitier pragmatique et logique a du mal a répondre à ce genre de monceau informe.
Avant tout, cette femme me paraît être ... un pur produit de notre réussite !!!
Mais oui, à force de richesse, notre société s'est coupé de la nature (on bétonne tellement tout)
que la sagesse paysanne est désormais invisible.
A force de richesse, on paye des inutiles (vous me dites "directrice" ..." musée d'art contemporain")
qui peuvent donc éructer sur n'importe quoi.
Ainsi "libérée" de toute contrainte, cette dame peut donc divaguer à foison sans aucune limite.
On est tout de même loin de la femme à la truelle qui brasse des parpaings dont rêve Najat VB
Au point, parfois, qu'elle va à l'encontre des féministes (=mon corps m'appartient)
elle nous dit ici :"la croyance naïve que notre corps nous appartient"
comme toute anarchiste gauchiste elle propose de déconstruire (révolution, grêve et ici :"déconstruire la nation")
Pour la construction: on rêve à l'aide de phrases creuses :"réinvention"; "post-état"
mais elle se garde bien de nous expliquer comment les homosexuels et les musulmans vont vivre ensemble .
Mais il y a une morale divine ou naturelle (au choix)
Un écureuil peut trouver hyper moderne de ne pas emmagasiner des noisettes à l'automne,
mais la nature lui réserve un destin connu.
cordialement
@Jmespe: je doute que cette folle ait la moindre idée de ce que puisse être la " sagesse paysanne "
SupprimerPhilosophe ?, Cette harpie est surtout fonctionnaire.
RépondreSupprimerPour le reste, après l'excellent Corto, relire Aristophane...
@Michel Desgranges: Vous devriez me remercier de vous permettre de découvrir pareil phénomène, non ? Ce genre de spécimen, on ne les trouve pas dans la littérature , si ?
SupprimerTrop compliqué pour ma comprenette , elle doit trop abusé de la beu .
RépondreSupprimerMerci Claude d'avoir utilisé le mot comprenette.
SupprimerUn nouveau et sympathique à ajouter à ma liste des mozanciensquejaiapprissurunblog. D'ailleurs, si ancien que mon correcteur ignore son existence.
@Claude Henri: pas d accord, ce n'est pas ta comprenette qui est handicapée mais bien l esprit de cette dame. Sois donc rassuré, tu es normal et elle est folle !
SupprimerAh bon, ça me rassure parce que, moi aussi, j'avais du mal à comprendre les propos de cette dame.
SupprimerEt aucune envie de relire pour tenter d'y voir clair.
Puisque le mariage pour tous existe en Espagne, on devrait la marier à Léonarda!
RépondreSupprimerJe savais que le socialisme faisait des dégâts mails là , c'est insondable!
@Grandpas: dans le cas de cette dame, cette anomalie devrais-je dire, je ne suis pas sur que le socialisme y soit pour quelque chose. par contre, la folie...
SupprimerHélas le langage cru ne l'aide pas plus pour exprimer ses opinions bigarrées que dissimuler son énorme égoïsme. L'état régule ou garantit des comportements sains avec la grossesse, pour éviter de gros problèmes à l'échelle de toute la société.
RépondreSupprimerLe retour en arrière pris par l'Espagne est intéressant politiquement, il démontre qu'on peut revenir sur des lois vendues comme des acquis nécessaires à la progression de la société et ré-ouvrir un vrai débat sur leur utilité, impact et alternative.
Et si je dis retour en arrière c'est bien parce que les informations le présente ainsi. En réalité, il y a eu une politique mis en place il y a 30ans qui vient d'être abrogée, considérer que c'est une avancée ou un retour en arrière demeure subjectif.
@Judex: J apprécie particulièrement ton com parce qu il met en relief ce que l on considère en France comme un retour en arrière et ce qu ils considèrent, en Espagne, comme une remise en place des choses. Tout est donc subjectif. Je lisais les billets de blogs de nos gauchiards franchouillards et tous en étaient à conchier les rétrogrades espagnols et les manifestants d hier à Paris qui s'en inspiraient. Mais pas un de ces gauchiards pour se poser la question de savoir ce qui pouvait pousser les espagnols - pourquoi pas les Français demain - à remettre en cause le " droit" à l'avortement.
SupprimerMoi si mon utérus est actuellement un espace public, j' exige une ménopause immédiate, ça va pas non?
RépondreSupprimer@Orfeenix: N'est-elle pas grandiose mon espagnole ? Effectivement, à réclamer la ménopause pour tous !
SupprimerMon utérus est qu'à moi! Personne, ni l'état, ni mon homme n'ont eu le droit de faire une OPA dessus.
RépondreSupprimerMais en revanche, mon homme, géniteur aurait eu son mot à dire si, enceinte, je n'aurais souhaité avoir un bébé et donc l'aurais tué. Les bébés, c'est moitié moi et moitié lui.
J'ai hurlé chaque fois que l'on me félicitais d'avoir sept enfants "pour la France" , j'ai refusé d'être décorée de la médaille de mère méritante (ou un truc comme cela) je trouvais cela débile, car je suis responsable.
Nous sommes responsables de notre fécondité, on oublie pas sa pilule ou alors on se faire mette un patch ou poser un stérilet, enfin on impose un préservatif okaou.
Corps né avec un utérus j'ai jamais eu l'impression d'ouvrir les jambes au national catholicisme, plutôt d'aimer un homme, mais en vrai, cela ne vous regarde pas. Un doute me saisit, je n'ai pas fait analyser le sperme de mon homme serait il national catholique? Je ne le saurais jamais, comment savoir? Mais en tout cas, nos enfants sont beaux et aiment la vie.
Cette nana est raide dingue et a besoin d'un bon psy, encore que je crois sa cause désespérée.
@Lady Watterloo: "Mes bébés, c'est moitié lui, moitié moi" , Bravo , enfin une femme pour le reconnaître ! C'est si vrai... si moins égoiste, si ... partage ! Mais attention, ne pas l'écrire ou le dire trop fort, il est à craindre que cela soit passible de camp de rééducation par les temps qui courent
SupprimerCoquine de chez coquine ma cher orfeenix
RépondreSupprimerTu viens dimanche? je serai heureuse de vous revoir, les amis!
SupprimerOrfeenix: dimanche, nous sommes plusieurs blogueurs à aller à la manif après avoir déjeuner avant. Si tu vx te joindre envoies email a mon adresse: atoilhonneur@voila.fr
Supprimerbiz
J'aurais une unique question à poser à cette personne : comment va votre mère?
RépondreSupprimerPopeye
Popeye: mezavi qu elle a une sacrée dent contre sa génitrice
SupprimerNon, c'est contre son " bon père de famille" qu'elle a plus qu'une dent, toute la machoire : ce père qui préférait " tuer son enfant" plutôt que de le savoir homosexuel. Mais personne ne songe à dire que de tels propos sont plus graves que de pas vouloir ne pas donner la vie. Oui, je conçois que c'est
Supprimerévervant, mais en définitive, c'est la femme qui décide et ce n'est pas près de changer, que ce soit
légal ou non.
@Nina: certes c'est la femme qui décide mais n oublie-t-on pas, un peu, l'homme ?
SupprimerEn résumé , elle fait l' apologie de la quenelle !!!
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