Ne vous inquiétez pas ! Ne cédez pas à ce vent de quasi-panique, très largement entretenu par nos médias et les politiques de tous bords, ici ou ailleurs, mais, demain, quelque soit le résultat du référendum grec, vous aurez toujours à manger dans votre assiette et vos avoirs bancaires ne seront pas gelés. Okay ? Alors restez zen, servez-vous un ch'tiot canon de rosé et respirez.
Les résultats du référendum seront connus en fin de soirée et nous verrons alors les politiciens de tous bords là aussi commenter cet accident historique voulu par le premier ministre grec. Parce que franchement, en dehors de faire plaisir à tous les amoureux de la démocratie en donnant la parole au peuple, à quoi servira ce sondage hors-norme ? A rien selon moi. Une petite semaine d'espoir pour les " OXI ", une semaine d'angoisse pour les " Nai ". Ou vice et versa. Avouez franchement qu'un pays dans lequel le oui se dit " Nai " et le non se dit " Oxi " est un pays qui ne tourne pas rond, me semble-t-il. Au final, et quelque soit le résultat, la Grèce - on parie ? - restera dans la zone euro, la monnaie demeurera l'Euro et les négociations continueront, encore et encore jusqu'à ce que, un jour peut-être... Quoiqu'en disent ici la Méluche ou La Marine, personne n'a intérêt à voir la Grèce sortir de la zone - même Nikos Alliagas l'a dit - comme personne ne comprend très bien comment elle peut faire pour y rester. C'est ainsi.
Les eurocrates, les europhiles, Angela et moi n'avons aucune envie de nous asseoir sur une dette de plus de 340 milliards d'euros que nous savons ne jamais récupérer de la même façon que les extrêmes-gauchiasses actuellement au pouvoir en Grèce - soutenus par nos deux extrêmes franchouilles - savent très bien que sans l'Union ils ne sont plus rien, cuits et recuits, à poil. Alors vous verrez que dès après-demain, le temps pour chacun de soigner sa gueule de bois post-référendaire, les discussions reprendront de plus belle à Bruxelles. Avec ou sans Tsipras. Normalement sans, s'il perd; mais on ne sait jamais avec les Grecs, on les attend par devant et bien souvent, ils vous surprennent par derrière: le Tsipras pourrait très bien avoir le culot, en cas de victoire du " Nai ", de refuser de s'oxire sur l'autel de la voix du plus grand nombre.
Surtout que ce référendum, franchement, il est un peu à l'image de ce que la Grèce nous joue depuis des années: un sacré casse-tête. Avez-vous lu la question à laquelle nos amis Grecs devront répondre ? : " Faut-il accepter le plan d'accord soumis par la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international lors de l'Eurogroupe du 25 juin, qui est composé de deux parties : Reforms for the completion of the current program and beyond (Réformes pour l'achèvement du programme en cours et au-delà) et Preliminary debt sustainability analysis (Analyse préliminaire de la soutenabilité de la dette) ? " Répondre par Oxi ou par Nai ! Va-t-en lire un truc qui s'appelle Reforms for the completion... ou Préliminary debt..., autant aller à la plage et se siffler un Ouzo bien frais. Remarquez qu'il y a une petite astuce dans cette question: faire croire aux Grecs qu'en votant, ils se prononceront pour un euro-dézonnage et contre l’austérité ou pour rester dans l'Union... Y en a-t-il qui sont dupes ? Et tant pis si la question occulte la responsabilité du peuple grec, dans son ensemble, pour cette crise. Quelqu'un leur a dit qu'en cas de victoire du " Nai " de facto ils reconnaissent s'être gavés pendant des années sans rien payer ? Pensez-vous !
Les Grecs sont avec ce référendum pas vraiment constitutionnel pris en sandwich entre l'austérité qu'imposera Bruxelles, avec peut-être l'espoir, comme l'Espagne ou le Portugal de s'en sortir un jour ou l'autre et ... Et c'est bien là le problème parce que avec Tsipras et son Varoufakis de ministre, personne ne sait très bien à quoi s'attendre demain.
Tout ça pour dire que si Tsipras a cru (démagogiquement) bien faire avec ce référendum, qu'on le veuille ou non celui-ci marque l'échec de son gouvernement et de la politique pour laquelle il s'est fait élire. Ce référendum ne résoudra rien, il ne fera que scinder le pays en deux.
En attendant, buvons à leur santé, c'est tout ce qu'il y a à faire pour les soutenir; nous, on a de la chance, on est (encore) trop gros et trop indispensable à l'Union pour que Bruxelles vienne nous ch... dans les bottes.
Folie passagère 2833.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
Vous êtes en progrès : vous utilisez toujours "au final", mais vous le mettez en italique, à des fins prophylactiques !
RépondreSupprimer@Didier Goux: Si je vous dis que cet italique est rien que pour vous, le croirez-vous ?Je sais qu il y a un problème avec cette expression mais je n arrive jamais à me souvenir de quel problème il s'agit malgré les nombreuses fois où vous avez évoqué la chose.
SupprimerEn effet, le type organise un referendum pour demander aux Grecs s'ils sont
RépondreSupprimertoujours d'accord avec la politique au titre de laquelle il a été élu voilà six mois.
C'est un peu péteux comme idée et en plus ça le fait passer pour ce qu'il est,
un gros rigolo de gauchiard sans cervelle.
Alors en effet, buvons à leur santé, c'est ce que j'ai fait avec mes potes et ça
procure du bien être par où ça passe, referendum grec ou pas.
Amitiés.
"C'est un peu péteux comme idée" comme vous dites, mais il n'en reste pas moins que les Grecs ont résisté à l'odieux chantage qui leur a été fait. Hier encore toute la médiacratie croyait dur comme fer au OUI et voilà que ce soir c'est NON. Autrement dit : une bonne claque dans la face de cette UE et accessoirement de madame Merkel et Hollande réunis! Je jubile !
Supprimer@Nouratin: Incroyable tout de même, le mec est élu sur des promesses, au bout de 6 mois le pays qui commençait tout juste à frétiller question croissance se ré-enfonce dans la récession et le gars va chercher l absolution auprès de ceux qui l ont élu ! non, je révise mon jugement, Tsipras est remarquable et 61% des Grecs sont des gros nazes ! :)Tchin !
Supprimer@marianne: quel odieux chantage ? Pourriez-vous préciser ? Les Grecs nous doivent 340 milliards d euros et c'est " nous " qui ferions du chantage ? Ttes mes excuses, mais sur ce sujet, nous ne serons pas d'accord, le maître chanteur, c’est la Grèce ! Quant à jubiler , non sans moi. Merkel a ce petit quelque chose que j adore et fort peu fréquent chez nos politocards: la rectitude et la rigueur,
Tsipras a été élu par les Grecs, dé-mo-cra-ti-que-ment, mon cher Corto, que cela nous plaise ou pas, pour dire non à la politique d'austérité intenable - tout le monde en convient - qui était imposée à la Grèce. Le chantage a donc consisté à vouloir imposer à Tsipras de faire une politique contraire à celle pour laquelle il avait été élu quelques mois auparavant. D'où sa proposition d'organiser un référendum pour vérifier que les Grecs lui gardaient leur confiance. Ce qui a été démontré ce soir au grand dam de toutes nos élites anti-démocratiques.
Supprimer@marianne. Tout à fait d'accord. Ou alors je me demande à quoi sert et la démocratie et un référendum... Un peuple vient de rejeter la potion imposée
Supprimerpar une Troïka dont la légitimité est limitée, quand elle s 'insinue à un tel degré dans la manière de gouverner d 'un état souverain. Je rappelle que la dite potion fait l 'objet de vives critiques, dont celles de deux prix Nobel d'économie... E t j 'attends les commentaires de ceux qui raillent actuellement si, par hasard, le FMI venait nous imposer l'âge de départ à la retraite ou le taux de TVA...
Donc Marianne et Grisou, quand le momfnt de régler la facture des grecs, car les banques désireront être remboursées ,j'espère sue vous serez toujours aussi heureux de payer pour les grecs.
SupprimerPetite information, fort peu rzoeiqe dans les médias, les fonctionnaires furent augmentés de 150% ces dernières années, ceux des autres pays européens de 30%, il y a aussi au minimum, un fonctionnaire dans chaque famille grecque.
Bonjour Corto,
RépondreSupprimerTous salut la démocratie à la grec ????? La seule véritable démocratie, serait de faire un referendum européen afin de savoir si les peuples sont d'accord de payer pour les grecs. Qu'attendent nos gouvernants pour nous demander notre avis comme les grecs l'on fait ? Ps : J'ai fait un referendum dans ma famille pour savoir si nous devions rembourser le crédit de la maison - oui ou non. Oh surprise !! Le non l'a emporté.
@Tete de chocolat: c'est marrant parce que c'est exactement ce dont nous discutions à table: un référendum européen dont la question serait: êtes vous d'accord pour faire cadeau aux Grecs de tout le pognon qu ils nous doivent. Voilà qui aurait une autre gueule que le référendum un brin vérolé auquel les Grecs ont du répondre.
SupprimerIl aurait ete bien de faire un referundum avant pour savoir si il etait OK de transferer aux contribuables toutes les dettes foireuses Greque achetes par les banques prives ( avec les bonus associes) !!!!
SupprimerSarko le caniche de Merkel a l'oeuvre
Les chiffres ne sont pas définitifs mais en gros il y a une participation de l'ordre de 54%, le NON l'emporterait avec 61%, donc environ un tiers de la population a répondu NON. Tout à fait d'accord cette "grande leçon de democratie" ne changera pas le destin cruel de la Grèce. Le vote en Grèce est obligatoire, mais si le devoir civique n'est pas accompli il n'y a aucune sanction. Ce seul fait illustre ce qu'est ce pays : un merdier sans nom.
RépondreSupprimer@Le dépité: 1/3 c'est donc à peine un peu moins que le % qui a porté Tsipras au pouvoir ! Et Tsipras, fort ce soir de cette nouvelle " légitimité " va devoir être encore plus performant pour être a la hauteur des espérances de ses supporteurs. je lui souhaites bon courage. Combien de temps tiendra-t-il ?
Supprimer"Un pays dans lequel le oui se dit " Nai " et le non se dit " Oxi " est un pays qui ne tourne pas rond ".
RépondreSupprimerCertes.
Mais en plus ils hochent la tête de haut en bas pour dire non, et de droite à gauche pour dire oui...
Blaisedemontluc: autrement dit, ils sont les seuls a se comprendre :) ! Sont tout de même curieux ces gens là: ils veulent le beurre et l argent du beurre et s'étonnent qu en retour la bergère réclame son dû ...
SupprimerLe "non" a gagné. Les Grecs ont dit non aux réformes comptant sur les Européens pour continuer la gabegie.
RépondreSupprimerMélenchon se voit président en 2017, Marine, Phillipot et Dupont-Aignant applaudissent en appelant de leurs voeux l'explosion de la zone euro, Hollande fait semblant d'avoir un poids quelconque sur la scène européenne.
Mais...
Les petits pays de la zone euro à l'Est n'ont aucune envie de payer pour les Grecs. Ils veulent laisser la Grèce s'enfoncer, dixit un journaleux à Bruxelles. On peut les comprendre.
Les Allemands sont remontés comme des coucous, les Européens du Nord aussi, les Français itou.
Les pays qui ont bénéficié d'aides et ont donc réformé dans la douleur comme l'Espagne, le Portugal, etc, grincent des dents et vont commencer à gronder si l'UE se montre laxiste envers la Grèce.
L'été sera chaud. ça va tanguer sec. A la barre du paquebot France, on a qu'un capitaine de pédalo qui n'a qu'une idée en tête : garder sa place malgré son incompétence même s'il fait couler le bateau. Il sait que comme le capitaine du Concordia, lui de toutes façons, saura sauver sa peau.
@Gilly: marrant ces extrêmes qui disent oui à Tsipras et ce uniquement parce que celui-ci semble avoir fait la nique à l'UE et àMerkel. le même qui dès ce soir par la voix de son Varoufakis de ministre des finances sera a nouveau demain à Bruxelles pour négocier. Parce que le plus drôle que ne semblent pas avoir perçu les guignols extrémistes, c’est que Tsipras et la Grèce n ont aucune envie ni aucun intérêt à quitter l euro.
Supprimer@Fredi M: Venir , tout gentil, commenter ici induit une règle: ne pas se payer ma fiole ailleurs. merci donc de ne plus venir sur ce blog commenter.
RépondreSupprimerAu moins nous aurons appris deux mots grecs " Nai " pour oui , " oxi " pour non ! Pour Angela , c'est une femme courageuse malheureusement elle doit se sentir bien seule dans ce couple Franco-Allemand qui boite sérieusement ... pourquoi ne pas rendre sa liberté à la Grèce puisqu'elle ne trouve pas son compte dans l'euro-groupe ... Pour ce référendum décidé à la va-vite c'est plutôt me semble t'il le signe d'une impuissance et d'un chantage qui débouchera sur quoi ? Je vais me plonger dans une biographie de Robert Schuman pour retrouver l'intuition d'une Europe dans laquelle a cru la génération à laquelle j'appartiens et qui se confronte maintenant à des désillusions sur la réalité de la réalisation de ce beau projet ... quand on voit qui on envoie à Bruxelles pour représenter la France on peut se poser des questions sur la considération de nos dirigeants vis à vis de ce projet européen ... c'est affligeant ! Marguerite
RépondreSupprimer@marguerite: quel couple franco-allemand ? Y a au moins trois ans qu il a volé en éclat lorsque ce qui ns sert de président s'est fait élire en maudissant le TSCG qu il avait promis , sans succès, de re-négocier.
SupprimerSi dans l esprit ce referendum est " sympa " - on a fait appel au peuple - il n'est que poudre aux yeux car dès demain les grecs et le monde entier vont réaliser qu il n a strictement rien résolu. Si ce n'est, peut être que d accélérer la sortie de la Grèce de la zone euro et là, même si je ne crois pas trop a cette sortie, mezavi qu ils s en mordront les doigts
Bien d'accord avec vous sur le fait que l'on va repartir sur un nouveau round de négociation. Personne ne veut assumer l'expulsion de la grèce.
RépondreSupprimerPar contre, je pense que vous minimisez de beaucoup le montant de la note à payer.
Si l'on additionne la dette du pays, les crédits inter-bancaires (si si, il y en a toujours), les balances target2, les crédits des particuliers (et il y en a ...), et les CDS dont personne ne veut parler et dont tout le monde cherche à empêcher l'activation; vous arriver à un joli chiffre compris entre 1000 et 2000 milliards (voir plus si on est très pessimiste).
J'ai comme dans l'idée que l'on va chercher toutes les solutions possibles pour éviter de baisser le pantalon mais surtout ne pas accepter la banqueroute. Dans tous les cas, il y a avis de gros temps ...
Quand je pense que notre ministre du travail nous expliquait la semaine dernière que le chomage allait baisser en france à la fin de l'année ... ahum ...
sam00
@sam007: ah mais je ne minimise rien, je cite juste le chiffre que nos dirigeants et medias évoquent. Les cons ! Bien sur que le dette est plus grosse que décrite mais chut, comme la notre d'ailleurs, minimisons, ça fait moins peur et tant pis pour les réveils difficiles.
SupprimerJe dois encore pas mal d'argent à ma banque. Mon revenu est nul. J'ai fait un référendum familial : c'est non (à 100%).
RépondreSupprimerA qui dois-je écrire pour que ma dette soit effacée (et il n'y a aucun emprunt toxique, je ne suis qu'un pauvre bonus pater familias, pas un élu génial et gestionnaire qui établit des budgets "insincères" mais "politiques").
Il n'y a qu'une seule vraie solution : que la Grèce nous rembourse en Ouzo (x litres par européen). C'est à mettre en œuvre d'urgence tant qu'il fait chaud parce que l'ouzo en décembre...
Ce qu'il y a de certain, c'est que j'ai du mal à comprendre la position de la France (peut-être le fait qu'elle soit dans une situation pire l'explique).
Le plus rigolo c'est le non-respect des règles du FMI qui ne les fait pas respecter (cessation de paiement) et n'avait, à l'origine, pas à intervenir sur un pays zone euro et ne l'a fait que parce que D.S.K. voulait se refaire de la visibilité en France avant de prendre sa douche au Sofitel.
Mais nous sommes sauvés, FH entouré de ses ministres téléphone aux autres dirigeants de l'Europe (BFM 22:35).
"F.H. fait très attention car il sait qu'un référendum ne peut être maîtrisé" (BFM 23;38). Cela nous explique quelques mesures Hollandaises.
Et ça continue, de pire en pire, avec C Autain (23:35).
C'est curieux qu’aucun ne nous rappelle, en invoquant la démoooocraaatiiie ce qu'il est advenu d"une pétition en France!
Droopyx
@droopyx: y a mieux, c'est Dupont-Aignan (2% aux élections nationales) qui réclame par tweet la sortie de la zone euro de... l'Allemagne !
SupprimerPerso, j ai une autre idée d'un référendum qui serait européen: demander aux 19 "peuples " de la zone eruo si ils sont prêts à faire une croix sur les centaines de milliards que nous doivent les Grecs. Si oui, no problemo, on vire la Grèce, si non, on vire Tsipras :)
Quant a la pétition que tu évoques et que j avais signé, ... ns sommes d accord, la démocratie, oui, mais pas n importe comment ni avec n importe qui :)
Sur, pourquoi s interroger sur le fait que l Allemagne défonce toute l industrie européenne et française en particulier ( chômage , déficits commerciaux, dettes) en bénéficiant d une monnaie unique qui est 50% de ce devrait être le DM
SupprimerOn se demande
@Fredi m: tout blogueur, règle numéro 1, est maître chez lui. Deuxio, il ne s agit pas de susceptibilité mais de cohérence: tu te fous de moi ailleurs, je te vire d'ici, c'est aussi simple que cela. Par ailleurs, y a pas de blogueur " politique" susceptible pour tenir bien longtemps la route. tertio, Sarko idolâtre, c'est ce dont me qualifient les connards genre le bdg, ceux qui n ont pas lu le billet ds lequel j'expliquais pourquoi je soutenais Sarko et généralement les gens d extrême droite. Quattro: je ne tiens pas un blog pour me faire emmerder par des gens qui me chient dans les bottes ailleurs.
RépondreSupprimerBonne continuation.
Penser que la Grèce va pouvoir rembourser ne serait-ce que 1000 milliards , c'est penser que Glandu va ramener le chômage à 0% . A mon humble avis ,il faut virer les deux , il y a des moments où il faut savoir perdre pour gagner . Pratiquement tous les jours j'achète , il y a les jours où je me plante mais je ne vois que le lendemain qui ne pourra pas être pire .
RépondreSupprimer@Claude Henri: virer les deux , commençons déjà par virer président et sa clique et n ous nous porterons mieux, c'est une évidence. Maintenant, je crois que personne n est dupe et sait pertinemment que la Grèce ne remboursera jamais la totalité de sa dette, mais mieux encore qu elle continuera à nous emprunter.
SupprimerSerons nous oxie par la décision grecque?
RépondreSupprimerTSIPRAS ET SON REFERENDUM: LA SEMAINE DES DUPES.
RépondreSupprimerCOMMENTAIRES SANS RETENUE N°48
Tout cela pour ça. Décidément, le peuple grec n'a pas fini de tirer la langue. Mais avait-il vraiment le choix? Après le "cirque référendaire" organisé par la gauche radicale et soutenu par tous les responsables des partis de gauche et d'extrême droite européens, les Grecs n'ont plus qu'à dire amen à tout. Foutage de gueule ou grande manipulation, le résultat est là.
Dans mon article précédent, j'annonçais qu'un accord entre les coquins surviendrait à coup sûr après tout ce cirque. Chose promise, chose due. M. Tsipras, à l'image de tous les démagos et marchands d'illusions européens, a donc prouvé que tous ses discours relevaient bien du vent. Il est vrai que, lorsqu'on couche dans la rue, il est difficile de cracher sur celui qui veut vous héberger. Levons donc notre verre à celui qui a su transformer un NON en OUI en entonnant ce refrain parodié d'une célèbre chanson à boire: "Il est des nôtres, il les a dupés comme les autres".
Quant aux médias qui ont passé leur temps à nous faire peur avec une sortie de la Grèce de l'euro et des conséquences dramatiques qui en découleraient pour tous les Européens alors qu'il était évident qu'un accord serait de toute façon trouvé sur le dos des peuples, la duperie entretenue a atteint son paroxysme.
Tous nos responsables ont voulu l'entrée de la Grèce dans l'euro. Elle y est maintenant. Il ne reste donc plus qu'à payer, que l'on soit désormais d'accord ou pas.
PATRICK SOUILLE
PAROLES DE CITOYEN: ET SI JE DISAIS TOUT.