Cette photo a été prise le 23 août dernier, il y a deux jours. Mais où donc a-t-elle été prise ? Et pour les plus doués, sans tricher, à quelle occasion ?
M'en vais voir la mer, retour et réponse lundi ou mardi.
Folie passagère 3421
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@yahoo.fr
Bonjour Monsieur Corto
RépondreSupprimerEn Ukraine, à Kiev, suite au coup d'Etat de PorcChenko, ayant mis à bas un gouvernement légalement élu, les Etats-Unis sont devenus les nouveaux "parrains" de l'Ukraine, pays en pleine déliquescence économique. Les soldats américains défilent pour le jour de l'indépendance de l'Ukraine...
C'était en Ukraine.
RépondreSupprimerc'est à Kiev ou les forces de l'OTAN ont participé à la fête de l’indépendance ukrainiene.
RépondreSupprimerPatatra
Ukraine, les larges casquettes des militaires suivant les GI, l'instrument de musique sorte de xylophone vertical, utilisé par les armées de l'ex URSS.
RépondreSupprimerLe drapeau jaune et bleu.
Cette affaire Ukrainienne est vraiment une grosse entourloupe
RépondreSupprimerPour le quizz trop nulle pour essayer une réponse. ;)
RépondreSupprimerEn revanche, pour les souhaits de bonne navigation (et sustentation !), je suis très forte ! :o)
Profitez bien du changement d'air. Dans tous les sens...
facile, on voit les drapeaux ukréniens (bleu et jaune)
RépondreSupprimerdonc des soldats de l’OTAN défilent à Kiev pour célébrer le Jour de l’indépendance de l'Ukraine
Il y avait également des britanniques pour ce nouvel enfumage de l'Otan.
RépondreSupprimerJ'ose espérer que la France va se tenir en dehors de ce bazar qu'est l'Ukraine
Veinard ! La mer y'a que ça de vrai...
RépondreSupprimerIl y a 3 sortes d'hommes : les morts, les vivants et ceux qui sont en mer :-)
Tu nous a habitué à plus difficile mais c'est bien trouvé , bonne randonnée aquatique !
RépondreSupprimerJersey ? Guernesey ? Côtier ?
Bon vous êtes trop fort
RépondreSupprimeron n'attendra pas le retour du taulier pour la solution
mais des explications dans ce bouquin :
Retour sur Maïdan de Lucien Cerise " la guerre hybride de l'Otan "
Bonne lecture et bon week end à tous
Des soldats de l’OTAN défilent à Kiev pour célébrer le Jour de l’indépendance de l’Ukraine. No comment. Bon week-end !
RépondreSupprimerPuisque tout le monde dit Ukraine et Kiev, mon cher Corto, j'aurais mauvaise grâce à dire autre chose. Et puis, je sens que cela va tellement faire plaisir à votre François 75005, que c'en est presque irrésistible.
RépondreSupprimerDonc ma réponse est : manifestation des forces de l'OTAN à Kiev pour la fête de l'indépendance de l'Ukraine.
C'est Poutine qui a dû être content !
Géo
RépondreSupprimerUne commémoration de l Occupation illégale de l Ukraine par les troupes d invasion US avec leurs contingents de supplétifs ukrainiens et de l'OTAN.
suite au coup de force de la pègre oligarchique qui phagocyte l État US lui-même et l utilise comme arme contre les peuples.
D ailleurs,le Soros (giörgy Schwartz de son vrai nom)connait bien le sujet puisqu'il a contribué en sous-marin à cette invasion sournoise au nom des "droits de l Homme".
Géo
RépondreSupprimer"Les crises.fr
Fuites,comment le milliardaire Soros tire les ficelles en Ukraine"
Remarquable comment,dans leurs courriers,tous ces gens s'attribuent le beau rôle en se faisant passer pour des sauveurs dés lors qu'il s agit d occuper des pays!
Soros,Lagarde,Juncker...(pouah!)
En tout cas ils marchent au pas comme des canards
RépondreSupprimerBon ben du coup il suffit de pomper sur les copains, alors je réponds
RépondreSupprimerKiev et je gagne moi aussi une sucette!
Bon vent et bonne mer!
Géo
RépondreSupprimerOn aurait pu oublier un détail...
Au moins s'agit-il de vrais soldats qui défilent et non pas un bouffon civil enfariné qui fait le mariole devant des soldats français après avoir revêtu en toute illégalité un uniforme militaire.
Corto, cet article m'a paru très intéressant : 1/2 :
RépondreSupprimerParce qu'il n'est plus soumis au devoir de réserve des fonctionnaires, Bernard Ravet s'est décidé à raconter sa vie de principal dans trois collèges difficiles de Marseille. Il décrit la violence, la montée de l'islamisme, la solitude des chefs d'établissements et des enseignants.
Retraité depuis 2015, Bernard Ravet, principal pendant quinze ans dans «trois des collèges marseillais les plus difficiles» livre un témoignage de première main (1) sur la montée progressive du fanatisme religieux musulman dans certains établissements scolaires. Et sur la réponse peu efficace voire fuyante de l'institution: «Il faut en finir avec la loi du silence qui pèse sur l'impact du religieux dans certains établissements», écrit cet ex-principal. Le fanatisme «frappe à la porte de dizaines d'établissements, (...) imposant ses signes et ses normes dans l'espace scolaire, dans les cours de récréation, les cantines, les piscines. Longtemps, je me suis tu. Par respect du devoir de réserve. Par crainte de stigmatiser les établissements que je dirigeais et d'en aggraver la réputation peu flatteuse (...). Par souci de protéger les élèves et les familles alors majoritaires qui résistaient aux coups de boutoir du fanatisme. Par peur d'être accusé d'islamophobie ou de racisme rampant». Essentiellement confronté à des problèmes de violence dans son collège des quartiers nord de Marseille, il doit vite faire face à un autre adversaire au début des années 2000: Dieu.
Lieu d'observation idéale, la cantine
Cela commence avec ces enseignantes et ces élèves qui, à la sortie du collège, se font bombarder de canettes de coca aux cris de «putes! salopes!». Leur point commun? Elles avaient mis une jupe. Ce sont ces jeunes dealers, des barbus en sweat et tee-shirt qui viennent lui expliquer que le fait de vendre de la drogue ne pose pas de problème en dépit de leur croyance religieuse car «les consommateurs ne sont pas musulmans. Si la drogue tue, elle ne tue que des mécréants. Ce n'est pas contraire à notre religion».
Emplacement d'observation idéal, la cantine se situe «à l'exact point d'intersection entre ma fonction de directeur d'ONG pédagogique et cette fonction que je devine alors sans me la formuler, imam de la République». Pour beaucoup d'enfants, le repas de midi est le seul de la journée. Il était hors de question de proposer de la viande halal mais «nous composions nos menus en fonction de cette contrainte. (...) Lorsque nous servions de la viande, nous prévoyions donc des œufs, du poisson, un deuxième légume ou des féculents... De quoi composer une assiette nourrissante qui n'allait pas finir à la poubelle». Marginal en 2000, lorsqu'il prend son premier poste dans les quartiers nord, «le refus de manger de la viande qui n'était pas halal était devenu la norme en 2013, lorsque j'ai quitté le collège Izzo». De même que la pratique du ramadan. Si en 2000, la moitié de ses élèves le respectaient, «en 2013 nous étions à 90% ou 95%».
Fracture grandissante entre garçons et filles
Suite ------------------------- 2/3 :
RépondreSupprimerLa fracture entre garçons et filles est quant à elle grandissante: ils se mélangent «très peu» en cours de sport. Les activités sportives et les sorties sont distinctes, les relations amoureuses et amicales très rares. Les garçons ne s'assoient pas à côté des filles et sont un peu moqueurs. Les garçons trouvent normal de prendre part à l'éducation de leurs sœurs, de vouloir se marier avec une jeune fille chaste tandis qu'eux-mêmes ne consentent pas au même sacrifice. «Certains élèves que j'ai eus avaient du mal à accepter les remarques d'un professeur femme», note le principal.
Il énumère aussi le cas de ces élèves, qui, le matin sont soudain plus nombreuses à arriver voilées devant l'établissement. «La plupart se découvrent avant d'arriver à la porte. Mais certaines tentent de forcer le passage, de retarder au maximum le moment d'enlever leur voile, de pénétrer d'un mètre, de deux mètres, dans l'enceinte du collège. Toujours grignoter du territoire. C'est une bataille pied à pied». Comme avec cette petite Djamila, dont les parents sont injoignables. Bernard Ravet finit par coincer la mère, à l'heure de la prière du vendredi grâce à une assistante sociale. Le père finira par lâcher du lest après un entretien au forceps.
«Il est normal de lapider une femme adultère»
Un jour, une jeune professeure d'histoire-géographie déboule dans son bureau, fébrile. «Monsieur le principal, pardon de vous déranger, je viens de vivre quelque chose de grave. C'était pendant le cours d'instruction civique des cinquièmes. Le cours sur les droits de l'homme. Mustapha a pris la parole... - Mustapha. Celui qui est plutôt bon? - Oui. Et là, il explique, soutient et argumente que l'homme et la femme ne sont pas égaux, qu'il est normal de lapider une femme adultère, tout comme de couper la main d'un voleur. - J'imagine que vous avez réagi. - Bien sûr! Il a continué. «Mais si, c'est vrai, c'est comme ça qu'on fait, c'est dans le petit livre qu'on m'a donné à la mosquée.» - Quel petit livre? - Je l'ignore.» Quelques jours plus tard, Bernard Ravet récupère ce livret d'une vingtaine de pages qui détaille les crimes des «mécréants»: croire que «les régimes et les législations établies par les hommes sont mieux que la législation de l'islam» ; dire que «l'application de la législation islamique concernant les peines légales, telles que l'amputation de la main du voleur ou la lapidation de l'adultère mariée, n'est pas conforme aux mœurs actuelles modernes». Il apprend que ce livre vient de la mosquée d'Abdel, un surveillant du collège. «Abdel. Toujours propre sur lui. Habillé à l'occidentale. Physique sec. Petite barbiche bien taillée. Extrêmement poli. Je n'ai qu'à m'en féliciter. Bien que d'un tempérament solitaire, il s'est imposé parmi le petit groupe de surveillants sur lesquels je m'appuie dans les circonstances les plus délicates. Il sait «tenir» une permanence avec 50 élèves sans que cela bronche. Est toujours partant pour remplacer un collègue absent. Pour tout dire, c'est mon meilleur surveillant.» À cet instant jaillit néanmoins de sa mémoire qu'il n'embrassait pas ses collègues de sexe féminin...
«Merci de nous avoir informés, répondra le rectorat après un rapport circonstancié du principal, mais ce monsieur a signé un contrat pour six ans on ne peut rien faire». Les RG, eux, lui révéleront que l'individu est sous surveillance depuis six mois, «classé S en quelque sorte». Méfiant, le surveillant finira par partir de lui-même grâce à la débrouillardise du principal. Une fois de plus.
Il avait peur d'être taxé d'islamophobie : tout est dit. N'ayons pas peur d'être traités d'islamophobe, car rien ne peut justifier d'aimer cette secte mortifère dont on voit les fruits tous les jours.
SupprimerEtre islamophobe est un signe de bonne santé mentale.
manquait un bout 3/3 :
RépondreSupprimerSes seuls vrais soutiens, pendant toutes ces années, se résument aux commissariats avec lesquels il entretient d'excellents rapports, à ses collègues dirigeants d'établissements locaux et à Jean-Pierre Obin, son ami inspecteur général, auteur d'un rapport détonnant en 2004 sur «les signes et manifestations d'appartenance religieuse dans les établissements scolaires» qui décrivait la progression du fanatisme religieux dans les établissements. «C'est lui, qui en couchant sur le papier une réalité sur laquelle je n'avais plus prise, m'a donné l'espoir qu'il restait un peu de lumière dans la maison, qu'on ne pouvait pas ne pas désespérer complètement de l'institution».
(1) Principal de collège ou Imam de la République? de Bernard Ravet avec Emmanuel Davidenkoff. Éditions Kero. Parution le 23 août 2017.
C'est tellement rare de pouvoir lire le témoignage d'un principal ; d'autant qu'il dit la vérité c'est encore mieux
Cette semaine une étude s'appelant "L'intégration des immigrés musulmans s'améliore en Europe" est mis en tête de gondole de certains médias pour faire entendre à nos oreilles la petite musique du tout va bien le vivre ensemble est préservé.
RépondreSupprimerEt ben non ça va pas et c'est même de pire en pire...
En rapport avec votre récente contribution sur le thème "Il commence à me gonfler le François", vous apprécierez certainement l'info suivante. "Le pape se rendra au Myanmar (i.e. Birmanie) en novembre prochain pour se préoccuper du sort de la minorité musulmane...".
RépondreSupprimerUne question se pose tout de même : comment font-ils pour se faire détester de tout le monde ?
SupprimerGéo
SupprimerCe pape est un fourbe et un félon,ses airs de mijaurée et de faux humble sont une simple simulation pour se jouer des naïfs.
Ça pue la franc-maçonnerie spéculative pervertie et le satanisme à plein nez là-dedans.Il n est pas plus chrétien ou "spirituel" que je suis évêque.Il faudrait virer ce genre d imposteur à coups de lattes mais il faudrait aussi pour cela que le Vatican soit autre chose qu'une coquille vide de toute chrétienté et un repaire de loups-garous déguisés en bergers.
Blaise Pascal : "Les jésuites ont répandu dans l'Eglise les ténèbres les plus épaisses qui soient jamais sorties du puits de l'abîme."
RépondreSupprimerLors de sa première visite à Rome, le futur pape Jorge Bergoglio demanda son chemin à un franciscain ; celui-ci tendi obligeamment la main dans la direction demandée et ajouta : « Vous ne trouverez jamais, c'est tout droit. »