J'imagine que vous suivez ce qui se passe en ce moment: Cette incroyable crise migratoire, ces dizaines de milliers de gens qui, il n'y a pas d'autre mot, envahissent l'Europe, ce million d'autres qui, en Libye, attendent pour embarquer, ces politocards et autres humanistes à la petite semaine qui prônent l'accueil pour tous... Vous suivez avec autant d'effarement que moi, j'imagine, tout cela. Entendez-vous aussi ces revirements et reniements de la part de certains politocards au premier rang desquels Président, l'hystérique de Matignon et le sinistre Cazeneuve... Ceux qui hurlèrent quand on ferma Sangatte et qui aujourd'hui vont ouvrir un camp de 1 500 places à Calais, des centres d'hébergement un peu partout et qui de ce fait et grâce à leur " Pour moi, l'accueil, c'est oui ! " ont créé un véritable appel d'air, ceux qui ne voulaient pas entendre parler d'une remise à plat des accords de Schengen, qui voulaient une Europe ouverte, qui ne voulaient pas entendre parler de quotas, etc... Vous les entendez tous ceux-là qui, sans vergogne, en appellent aujourd'hui à ce qu'ils bannissaient et condamnaient, il n'y a pas si longtemps... Celui qui aujourd'hui ose dire: " Il faut des contrôles aux frontières de l'Europe "... Oui, tous ceux qui ont fait croire à leurs électeurs qu'avec eux, ce serait mieux et que surtout il ne fallait pas écouter les fadaises du camp d'en face...
Moi, à l'époque, il y a un peu plus de trois ans, j'ai écouté et je me souviens parfaitement de ce qu'il avait dit, celui du camp d'en face:
" La situation de l’Europe et l’état du monde ne nous laissent aucun droit à l’erreur.
Une course contre la montre est désormais engagée avec au bout le risque de la crise
économique, de la désintégration sociale, du déclin de l’humanisme.
Les crises qui se sont succédées depuis quatre ans sont des avertissements que nous
devons entendre.
Je le dis avec gravité, ce qui est en jeu, c’est la survie d’une forme de civilisation, la nôtre,
dans un monde où la passion exclusive pour les gains du court terme et les crispations
identitaires s’affrontent de plus en plus violemment, préparant, si l’on n’y prend pas garde,
les grandes tragédies du futur.
Comme à l’orée de la Renaissance, des Lumières ou de la Révolution industrielle, nous
n’avons pas le droit de manquer notre entrée dans l’ère nouvelle que préparent les
bouleversements d’aujourd’hui.
Si nous ne voulons pas prendre le risque de perdre notre agriculture, nos usines, nos
emplois, notre art de vivre, d’aimer et de penser, notre culture, notre littérature, notre langue,
tout ce à quoi nous tenons, tout ce dans quoi nous avons mis tout le génie de la France
depuis des siècles, nous devons, sans biaiser, tirer les conséquences de ces crises terribles
que le monde vient de connaître. (...)
Je crois du plus profond de mon âme que la France n’est pas seulement le nom d’un pays, la
France c’est le nom d’une civilisation. Quand on entend France, on entend Molière, Voltaire,
Chateaubriand.
La France n’est pas un pays comme les autres. Quand on entend France :
On entend la prière de Péguy à Notre-Dame de Chartres : « Deux mille ans de labeur ont fait
de cette terre un réservoir sans fin pour les âges nouveaux.» On entend liberté, égalité,
fraternité.
On entend le cri de Valmy.
On entend la Grande Révolution disant au monde « le bonheur est une idée neuve » parce
que le bonheur est une idée française.
On entend la voix de Napoléon dictant le bulletin de victoire au Soleil d’Austerlitz.
On entend le « non » du Général De GAULLE le 18 juin.
On entend la voix d’Aimé Césaire jetant Racine, Zola et Hugo à la figure des censeurs de
Vichy.
Nous sommes les héritiers de cette France-là ! Nous n’avons pas le droit de laisser dilapider
cet héritage. (...)
A l’heure où il nous faut affronter les conséquences de la crise, je vous le dis (...), ce serait folie d’affaiblir notre modèle républicain.
Nous n’accepterons jamais le communautarisme.
A l’heure où nous avons besoin de cohésion, nous ne laisserons pas détruire les institutions
qui fondent la République : je parle de l’école et de la famille. (...)
Mais nous avons commis une erreur pendant trente ans en passant la Nation par pertes et
profits alors que dans la mondialisation, partout, ce sont les Nations qui tiennent le premier
rang parce qu’elles sont portées par un élan collectif qui leur donne une force irrésistible
dans la compétition mondiale.
Dans la compétition mondiale, les pays qui réussiront sont les pays qui attacheront du prix à
l’idée de Nation. La Nation française, c’est l’avenir de la France.
Nous avons eu tort en Europe de négliger les frontières, tort d’élargir et d’ouvrir nos marchés
sans contrepartie.
Si les frontières extérieures de l’Europe ne sont pas protégées contre une immigration
incontrôlée, contre les concurrences déloyales, contre les dumpings, il n’y aura pas de
nouveau modèle français et il n’y aura plus de civilisation européenne.
Si nous avons fait l’Europe, c’est pour être protégés, pas pour laisser détruire notre identité
et notre civilisation.
J’ai dit ma détermination à faire changer l’Europe sur la question des frontières. J’irai
jusqu’au bout. J’irai jusqu’à suspendre s’il le faut, les accords de Schengen et à rétablir des
contrôles ciblés à nos frontières.(...)
Je revendique pour la France le droit de choisir qui elle accepte sur son territoire. Je revendique pour la France le droit de défendre ses valeurs, sa culture, sa langue, son
modèle républicain, son identité. Parce que défendre son identité, défendre sa civilisation, ce
n’est pas honteux c’est légitime. Quand on oublie d’où l’on vient et qui l’on est, comment
peut-on savoir où l’on va ?
La défense de ses droits, c’est ce que la France attend de l’Europe, c’est ce que la France
demande à l’Europe. Mais la France le dit à ses partenaires, elle ne renoncera pas à les
défendre elle-même si l’Europe ne les défend pas.
Je veux aller plus loin encore. Je veux poser (...) le problème
des frontières. Mes chers compatriotes, C’est à votre cœur et à votre raison que je veux m’adresser enfin.
A votre cœur, parce que ce qui nous réunit ici, c’est l’amour de la France.
A votre raison, parce qu’il faut que le choix soit clair et que ses conséquences soient
comprises.
Deux voies sont possibles.
L’une imposera les solutions du passé. (...) L’autre voie, c’est celle qui sera tournée vers l’avenir et qui tirera les leçons des crises. Entre le nationalisme
et le laissez-faire, je vous propose pour la Nation la voie raisonnable de l’unité et de
l’ouverture au monde.
La vocation de la France n’est pas de s’effacer ou de se taire. (...) Par-delà les siècles la grande voix de Victor Hugo nous dicte le programme de l’avenir.
Ecoutons-le.
« Une liberté sans usurpations et sans violences, une égalité qui admettra la croissance
naturelle de chacun, une fraternité d’hommes libres, l’application du principe qui veut que
tout homme commence par le travail et finisse par la propriété, le respect de l’héritage qui
n’est autre chose que la main du père tendue aux enfants à travers le mur du tombeau,
l’ordre comme loi des citoyens, la paix comme loi des nations ».
Il n’y a rien à changer, il n’y a rien à retirer. C’est cette France-là dont nous voulons être les
héritiers. La France de Victor Hugo et du général De Gaulle, la France qui regarde vers l’avenir, la
France qui choisit le progrès, la France qui veut se mettre au service de toute l’humanité,
cette France c’est la vôtre.
Mes chers compatriotes, Prenez votre destin en main !
Levez- vous ! Prenez la parole ! "
C'était le 15 avril 2012, il y a à peine 3 ans et quelques mois, à la Concorde... A la Concorde, puis au Trocadéro, ce sont des drapeaux bleu-blanc-rouge qui flottaient quand quelques jours plus tard claquaient au vent, à la Bastille, des drapeaux étrangers. Et à cette époque là, on ne parlait quasiment plus de Calais... Et depuis, rien. Rien n'a été anticipé, rien n'a été fait pour éviter ce chaos migratoire. Et pourtant, tout était prévisible, la preuve !
Folie passagère 2903.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
Je résume parce que c'est long et plein de clichés: "Je n'ai rien fait quand j'étais président contre l'invasion musulmane (au contraire) et la force grandissante de l'Islam. Je trouve que les électeurs du FN (sans le nommer) ont raison. Je vous laisse croire sans le dire que je vais changer mon fusil d'épaule. Je vous laisse croire aussi que je vous promets que si vous votez pour moi de réagir vigoureusement, dans le respect de la liberté religieuse, le rejet de l'islamophobie et de toute forme de racisme".
RépondreSupprimerJ'ai bon?
@Pangloss: je m attendais bien à ce genre de commentaire, un brin stérile, un brin simpliste, finalement, non ? Tout a fait le genre de commentaire que j attendais plutot d'un gauchiste ou d'un frontiste, mais bon. Ce qui est important, à mon avis, et même pas besoin d apprécier ou de détester Sarko, c'est ce qu il a dit ce jour-là: il préconisait ni plus ni moins ce que les socialistes condamnait ( le FN aussi ) et qu ils se proposent de mettre en place aujourd'hui avec au moins 3 ans de retard.
SupprimerTu es bien gentil de me coller une étiquette mais tu sais que je les refuse. Je suis un observateur de la politique, un touriste de l'information. J'ai perdu depuis longtemps toute illusion. J'imagine bien que nous aurons un président en 2017. Quel qu'il soit, je ferai partie de la majorité des Français de 2019: insatisfait. Tu as de la chance: peut-être que celui que tu aimes sera élu. Dans ce cas, je suis certain que tu feras partie de la minorité de satisfaits.
SupprimerMa réponse est-elle assez stérile, assez simpliste ou juste un brin?
@pangloss: l important nest pas d aimer ou pas Sarkozy, c'est, en l occurrence, de saisir les mots en essayant de faire abstraction de celui qui les a prononcé. Quand , par exemple, il dit: " Une course contre la montre est désormais engagée avec au bout le risque de la crise économique, de la désintégration sociale, du déclin de l’humanisme ", il a raison, non ? C'est bien ce à quoi nous sommes confrontés., non ?
SupprimerJ en conclu donc, qu il était visionnaire, qu il avait ne serait-ce qu une idée de ce qui allait se passer . Ce qui ne fut as le cas de Hollande et sa clique .
ET ce billet n a rien à voir avec 2017, il a juste a voir avec ce qui se passe et avec quelle " absurdie " ceux qui nous gouvernent actuellement ont mené le bateau. Tout était prévisible et rien n a été anticipé.
Maintenant, tu me dis que quoique il se passe en 2017, tu seras insatisfait. Soit. mais alors, queveux-tu, qui veux tu pour être satisfait ?
Et en ce qui me concerne, j ai une certitude, je ne veux plus de ces pieds nickelés socialistes et encore moins de ces utopistes frontistes.
Quand il dit: " Je veux poser (...) le problème des frontières ", n'est-ce pas exactement ce qui est entrain de se passer ?
Quand il dit: " J’irai jusqu’à suspendre s’il le faut, les accords de Schengen et à rétablir des contrôles ciblés à nos frontières ", n'est-ce pas ce qui es entrain de se mettre en place, ce à quoi réflechissent tous nis actueles dirigeants, allemands y compris ?
Géo
RépondreSupprimerBonsoir
Je peux me tromper,mais la crise economique peut s aggraver de façon inattendue et,quoiqu on pense de Sarkozy,il a décrit cette menace imminente qui pese sur nous.
L economie mondiale ne va pas bien.Ce ne sont pas les rustines des banques centrales qui pourront résoudre le probleme,L Euro peut connaitre une grave crise,l Europe se trouver trés mal,dans les mois qui viennent,et durablement.
Nous avons perdu un temps appreciable en pitreries communautaristes,antiracistes,mariage pour tous,etc. .en conneries demagogiques en fait,et relégué les vrais problemes a la cave.
Il y a une conjonction d élements defavorables,dont les migrants ne sont qu un elément,qui vient à nous et peut créer un chaos où les accords de l Union européenne seront mis à rude épreuve,et pas seulement cette folie de Shengen.
Ce n est qu un avis,mais j augure mal de l avenir.
@Géo: l’enseignement est là, exactement ce que nous vivons depuis 3 ans: " Nous avons perdu un temps appréciable " !
SupprimerGéo
SupprimerBonsoir Corto
Et meme plus que depuis trois ans,bien au delà.mais sur que ces saloperies actuelles etaient ce qu il ne fallait pas.
Je vais etre choquant,mais je pense que certains des problemes internes actuels se resoudraient seulement par la force militaire et avec une poigne d acier pas question de transiger,la mollesse serait exclue,mais nous sommes des democraties avachies donc aucun dirigeant ne fera ça helas.
Toutes les periodes ou les factions dominent ont été désastreuses pour un pays.
Et nous avons nos Lumieres,nos valeurs,notre identité à defendre,nos creations qui ont aussi un eclat mondial(sinon,on ne nous envierait pas)meme si il y a eu une part obscure,comme dans toute civilisation
@ Pangloss : Pour ma part, je crois qu'il est temps de passer à autre chose qu'au coup de rétroviseur, parce que si l'historique des événements est on ne peut plus clair, il ne préfigurait pas forcément cette avalanche migratoire qui s'est imposée d'un coup, comme propulsée, à jets continus depuis, et sans intention aucune de refluer.
RépondreSupprimerPointer les erreurs de Sarkozy ne résoudra rien. Nous sommes dans une situation d'urgence qui appelle les bonnes volontés et les bonnes décisions. Les règlements de compte ne feront que retarder la considération du stress immense que nous vivons en tant que peuple, et que nous ne pouvons que partager grâce à des blogs, grâce à Corto ici présent.
La chose certaine est que notre gouvernement socialiste vit consciemment ses dernières heures, et n'ayant plus rien à perdre, poursuivra sa politique de destruction de la société française, qu'il a toujours honnie, et envers laquelle, secondé des médias, il appuiera encore et encore le chantage humanitaire pour forcer notre identité à occuper une légitimité de seconde zone.
Ce qu'il nous manque est un rassemblement populaire, solidaire et patriote qui transcende les encartages. Un rassemblement pour attester, aussi bien de notre stress, que de notre résistance. Pour témoigner notre refus au muselage que l'on nous impose, pour témoigner notre refus à être sacrifiés.
Que chacun garde ses convictions partisanes et ses choix pour l'urne. Mais si nous sommes tous d'accord aujourd'hui pour désigner ce choc migratoire comme la menace que devront, de toutes façons, affronter demain nos prétendants politiques, faisons-le savoir. Affrontons les socialistes.
En patriotes et solidaires. Car l'heure est grave.
@Joséphine: Sais tu ce que c'est qu une haine ( à defaut, un rejet) quasi pathologique ? Er bien tu en as une bonne illsutration avec le commentaire de Pangloss a propos de Sarkozy. Et pourtant, il avait raison, Sarko, il avait, lui ou son nègre, peu importe, une bonne idée de ce qui allait se passer, ce à quoi nous assistons aujourd'hui.
SupprimerAlors oui, ça ne sert a rien de ressasser, mais... mais, il est temps de savoir où est l'avenir de la France, dès lors qu'on l'aime. Avec les socialos . Avec le FN ? Désolé pas pour moi .
Ce choc migratoire est le pire danger auquel nous ayons été confrontés. Une certitude, ce n est pas avec ceux qui ont ouvert les portes ces dernières semaines
@ Corto : je crains que mon "coup de rétroviseur" n'ait été mal interprété, alors je corrige : je ne t'accusais certainement pas de rappeler les propos de Sarkozy, et il se trouve que j'ai de l'estime pour Guaino, s'il faut en plus rendre à César etc.
SupprimerJe disais juste que face à une situation d'urgence comme la nôtre, il ne sert à rien d'entretenir un esprit revanchard envers Sarkozy, car à force d'entrer dans la querelle dialectique et comparative, nous perdons la raison du combat.
@joséphine: bien d accord. Le pb étant quand même que cet esprit revanchard envers Sarko est parfaitement bien entretenu par les médias, le PS qui est pourtant aux affaires depuis plus de 3 ans et le FN et toute une tripotée de gens de droite. Il est clair que le mec fait peur à tous ses adversaires qui au lieu de s interesser à lui feraient bien soit de la fermer quand on est socialiste soit de nous proposer quelque chose de sérieux.
SupprimerJe viens de passer quinze jours de vacances à éteindre ma radio le matin dès que j'entendais le mot "réfugié".
RépondreSupprimerAutant dire que je ne l'écoutais qu'une dizaine de minutes par jour.
Ce sont tes billets qui m'ont le plus manqué.
J'ai cru comprendre qu'il y avait un nouveau panda à Beauval qui adorait les galettes Saint-Michel.
C'est assez sidérant d'assister impuissants à l'invasion de l'Europe, de se demander combien de temps les peuples vont accepter de leurs dirigeants cette folie qui consiste à sans cesse faire des appels d'air aux clandestins, utilisant pour cela des merdias acquis à la cause.
Personnellement; j'ai l'impression que l'Europe, mais surtout la France, est lancée à toute vitesse vers le chaos, qu'il n'y a vraiment plus personne pour tenir la barre.
Quant à Sarkozy, il est régulièrement vilipendé pour ses propos jusqu'à ce que les faits lui donnent raison.
Que les chiens aboient et le traitent de subversif, comme Le Guen ce matin, s'ils le veulent, ils ne l"empêcheront pas de dire ce qu'il pense et c'est tant mieux.
@Gilly: Bon retour chez nous ! :)
SupprimerC'est aussi sidérant qu affligeant dans la mesure où tout ce qui arrive était prévisible depuis au moins deux ans. Et qu'ont-ils fait ceux qui sont censés nous protéger ? Rien, absolument rien si ce n'est se bouger le popotin depuis 15 jours. Et encore !
les faits donnent raison, mais voisle commentaire de Pangloss plus haut, le lavage de cerveau et l'antisarkozysme ont fonctionné à fond !
Ils sont tellement cons qu'ils avouent le nombre de logements Hlm disponibles (77.310) pour les migrants, alors qu'ils prétendent le marché de l'offre totalement saturé :
RépondreSupprimerhttp://immobilier.lefigaro.fr/article/plus-de-77-000-hlm-seraient-disponibles-pour-des-refugies_06fa1eae-5af0-11e5-810a-0f4aca75316b/
A noter le «pas en concurrence avec d’autres publics en grande précarité», qui sous-entend des appartements réservés d'office aux demandeurs d'asile.
Une affirmation posant problème, car, si on suit la logique, pour qu'un parc de logements aussi important soit vacant et réservé à cette catégorie (200.000 individus/an, je crois bien ?), c'est que l'on construit pour elle.
Donc, quelle est la disponibilité du parc immobilier pour "les autres publics en grande précarité" ?
@Joséphine: Mais de quoi donc " les autres publics en grande précarité "pourraient-ils s'inquiéter puisque Valls a dit que rien ne serait fait au détriment de nos précaires et autres SDF , l'hiver approchant ?
Supprimer@ Josephine
Supprimeroui assez sidérant en effet, je dois avouer que j'ai été stupéfait de lire que je ne sait plus quel machin bidule officiel s'occupant des " mal logés " se proposait benoitement de fournir 77310 logements hlm ( appréciez la précision...) immédiatement a la disposition des réfugiés... les gens qui galèrent pour trouver un logement dans le privé, qui, en région parisienne vont payer une fortune pour un loyer, et tout ceux qui attendent un logement social depuis des années et a qui " on " dit qu'il n'y a rien de disponible apprécieront ceci a sa juste valeur... perso je prends cette " offre" pour ce qu'elle est , une marque de mépris supplémentaire a l'égard du "franchouille de base ", du sans dent, qui lui est prié de se démerder sans moufter alors que les altesses autoproclamées qui nous " gouvernent "depuis les hauteurs étherées ou elles résident ont choisies leurs pauvres... en fait la gauche me fait de plus en plus penser a ces dames patronesses du 19 em siècle qui avaient leurs nécessiteux, la gauche a aussi ses pauvres, simplement elle ne veut pas se " compromettre " avec le " de souche", pas assez misérable pour flatter l'égo, c'est tellement plus gratifiant et vous fait sentir tellement plus " humaniste " de s'occuper des "réfugiés " ...
Géo
Supprimer@Tonton flingueur
"Vous fait sentir tellement plus humaniste.. "
Je trouve qu ils sentent les ordures accomplies à plein nez!de beaux cancrelats bien gras qui se vautrent dans les palais et dans la corruption.(pardon aux vrais cancrelats pour la comparaison)
@ Tonton Flingueur : pour aller plus loin, je me pose la question des financements, des investisseurs, de ces Hlm. Ou tout simplement de l'éventualité d'une attribution conditionnelle. En d'autres termes, je me demande si quelque chose qui s'apparenterait à une mafia, ou à un clientélisme, n'en piloterait pas le fonctionnement.
SupprimerJ'ai entendu parler de pressions sur des Hlm à Avignon où des locataires Musulmans pas assez Charia-compatibles seraient invités à dégager les lieux pour y implanter des successeurs moins laïques. Sans que la mairie n'y appose la moindre objection.
Voir le msg posté par PhilZ qui reprend un article du Figaro à propos du Salon Musulman consacré à la place de la femme, et des enjeux électoralistes qui y sont disputés.
Comme vous et moi avons, disons, un terreau commun, nous savons qu'il existe une classe moyenne immigrée d'origine arabo-musulmane (entre autre) qui ne se définit pas comme telle, mais se considère comme française, et a tout fait pour l'être et n'en changerait rien. Parfois je pense à eux, qui doivent se sentir bien schizophrènes par les temps qui courent : de souche mais pas blancs, ni de revendication musulmane ou animiste ou que sais-je, mais écartés du sentiment contestataire qu'ils partagent pourtant exactement comme nous. Ils se font également expulser.
En fait, le socialisme est ce qui existe de plus raciste : ils veulent accorder tous les droits et passe-droits (via Taubira notamment), parce qu'au fond, ils considèrent l'immigration récente et à venir - qui n'aura jamais les prédispositions requises pour s'intégrer car moyens et volonté font défaut - comme des causes perdues d'avance.
Le socialisme se délecte de créer un appauvrissement et une impasse des autochtones pour mieux sauver des étrangers, qui tôt ou tard, privés de leur dépendance, et uniquement élevés à la dépendance, seront les plus violents pour se retourner contre le régime qui les accueille.
@Tonton et Joséphine: anecdote: Mon frangin habitait Toulouse-Rangueil dans une petite cité HLM de 4 immeubles avec chacun une vingtaine d appartements. A son arrivée, il y a 9 ou dix ans, a la louche 90% de " souchiens ". Il a quitté ce logement il y a un an , il était le dernier dans la cité à ne pas être muzz. On ne lui a pas demandé de partir mais sa voiture maintes fois rayée, crevée ou sciemment bloquée par d autres véhicules, les méchouis en bas de l immeuble, les prières collectives, la saleté, les femmes voilées, les regards, les odeurs, le hall de son immeuble occupée en permanence etc.. l ont convaincu de partir.
Supprimeret j oubliais, faute d avoir retrouvé une place en HLM correct ou un appart a prix raisonnable , il a préféré partir à la campagne à 30 km.
SupprimerCe phénomène est appelé en Angleterre le " Whiteflight "
@ Corto : le problème tôt ou tard pour le whiteflight, est la formation d'une concentration d'arrivants, qui, par effet de grossissement, deviendra une agglomération en voie d'urbanisation. Genre construction de logements et d'hypermarchés, car les maires y verront un potentiel. La pression démographique n'est malheureusement pas favorable au repli tranquille. Ajoute à ça cette volonté de tout uniformiser pour aider à la diversité, bref…
SupprimerIl est bon de rappeler ce discours, même si se pencher sur le passé ne résout rien dans l'immédiat. (Ce sont des paroles de Guaino, non ? J'ai réalisé après la présidentielle de 2012 que ce que j'appréciais chez Sarkozy, c'était les mots de Guaino.) Comme Gilly plus haut, je trouve sidérant d'assister à la fin d'une civilisation et de voir qu'autour de moi la plupart n'en ont pas conscience. Certains sont si bien formatés par les merdias qu'ils répètent "une chance pour l'Europe". Lire ce blog et ses commentaires est un tout petit baume sur mon âme inquiète. Bien à vous. Vmh.
RépondreSupprimer@Vmh: Peu importe que ce soit Guaino qui l'ai écrit puisque c'était une commande de Sarkozy et que c'est Sarko qui l a prononcé . J'apprécie énormément Guaino. Il ne s agit pas de se penche sur le passé mais de voir que l un avait une vison assez claire de ce qui allait se passer et que d'autres n ont rien fait pour éviter le naufrage auquel nous assistons
SupprimerJe pense, comme beaucoup, que son second mandat aurait été bien meilleur que le premier. Il a fait des erreurs c'est vrai, mais, contrairement à ce que l'on voit aujourd'hui, rien d'irréversible...Là, on fonce vers le chaos, avec à la barre des irresponsables qui s' arc boutent sur des positions aux conséquences dramatiques et qui n'en changeraient pour rien au monde...le nez dans le guidon, aucune analyse, la tyrannie de l'émotion et le regard fixé sur le prochain scrutin complétant ce tableau de cauchemar...
RépondreSupprimerOn a confié les clefs à des fous et leur folie sera notre mort...
Comme je l'ai déjà dit, on relève une économie moribonde, on ne ressuscite pas une civilisation morte...
Il faut des leaders pour que le peuple bouge et là, je ne vois personne capable d'entrainer les Français et les Européens à dire non à cette folie...et les voix qui s'élèvent se fracassent contre "les jugements moraux" de la gauche et des médias qui les rendent inaudibles..."big other" faisant funeste équipe avec "big mother" et "big brother"...
@nana: Comme toi, je pense que son second mandat aurait été meilleur. Maintenant, tu fais le tour du paysage politique et tu me dis qui à part lui ? jeu politicien mis à part qui verrait, par exemple, un Juppé au second tour ?
SupprimerLa gauche, au pouvoir depuis plus de trois ans, ne l oublions pas est 100% responsable ce qui se passe actuellement. Et je ne parle pas que des migrants.
Merci Corto pour ton rappel ..
RépondreSupprimerSarko a une idée de la France en Europe et dans le monde, bien plus que Hollande.
Quand Hollande dit moi président, Sarko dit nous français ...Il s'inscrit dans une autre dimension ... nous avons pourtant tout à gagner dans cette dimension mais les français dont l'esprit est lavé en rose depuis 40 ans ont du mal à se sortir de leur torpeur et de leurs petits avantages. conditionnés par les médias et les mentalités 35 heures et le "j'ai le droit à" , ils n'étaient pas prêts jusque la...
Oui Sarko est un vrai politique car il sait anticiper. il le montre et l'a déjà montré... son handicap... la presse qui ne l'a jamais aimé (normal 80 % des médias sont de gauche (http://www.contrepoints.org/2013/02/24/116006-de-lindependance-des-journalistes) .
Sur le fond pourtant en prenant du recul l'on s'aperçoit que les lignes tracées sont celles qu'il faut prendre. Si le pays l'avait suivi et encouragé je pense que nous irions mieux aujourd'hui et je suis certain que l'Europe irait mieux.
Le socialisme français gangrène et appauvrit les esprits malheureusement mais il fallait en passer par la et cela Sarko l'avait calculé je pense. Nous avons voulu un socialiste sans expérience nous le payons et c'est bien de notre faute !
En France qui actuellement pourrait sortir le pays de l'ornière qui ? je ne parle pas de Sarko mais de tous les politiques confondus .. il n'y a pas grand monde entre ceux qui ont des dents qui rayent le parquet mais n'ont rien ni dans la culotte ni dans la cervelle et ceux qui ont des idées mais peu réalistes et qui n'ont aucune expérience.
Il serait temps de voir un peu plus loin que le bout de notre nez... les migrants sont le dernier avertissement ..Nous devons réfléchir ou nous voulons aller avec qui et contre qui et nous devons savoir si nous voulons effectivement garder notre mode de vie et notre culture et en les défendant avec force et non mollement comme on le fait depuis trop longtemps.
C'est à nous de nous prendre en charge
@Philz: Et l on s aperçoit peu à peu que ce que proposait Sarko dans des tas de domaines commence à etre évoqué ou appliqué par ces socialistes à la con ! que de temps perdus.
SupprimerMerci beaucoup, cher Corto, pour cette piqûre de rappel ô combien nécessaire
RépondreSupprimerEt, outre le fond, ça fait du bien de lire du vrai et bon français. Avec des mots et des phrases qui ont un sens et font preuve de la clairvoyance que devrait avoir tout homme politique digne de ce nom.
Merci.
@Franzi: De rien :)
SupprimerMais ce n'est qu'un discours. En face, il y a les actes : notamment le traité de Lisbonne puis le pacte budgétaire, qui transfèrent plus de pouvoir à l'UE, c'est à dire justement à des gens qui veulent en finir avec la France.
RépondreSupprimerDonc Sarkozy peut bien dire ce qu'il faut pour se faire élire, mais au fond ses actes montrent que c'est un cynique et un traitre.
Pour un pays qui n'a pas renoncé à être un Etat souverain, il faut regarder la Grande-Bretagne, par exemple dans cet article :
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/eu/11864694/A-semi-detached-Britain-may-still-be-too-close-to-the-EU-super-state.html
"But if Germany cannot cope with the numbers that have arrived so far over the summer, then how is it proposing to deal with the many thousands more that its open-door policy will inevitably encourage to make the journey to Europe? The answer, of course, is to share them around the rest of the EU, whether the people of those countries like it or not."
Les actes de Sarkozy montrent qu'il ne veut en rien préserver la France, mais au contraire qu'il veut cyniquement la détruire parce que l'idée d'Etat nation s'oppose à la politique de sa vraie clientèle, celle des milliardaires cyniques qui n'ont jamais assez de richesse et de pouvoir, et qui se divertissent en tyrannisant les autres.
Dans le cas présent en tout cas, on ne peut même pas dire que c'est particulièrement la faute du PS : c'est une décision allemande, qu'on se fait enfoncer en travers de la gorge à cause de la politique européenne des dirigeants français de ces 30 dernières années qui nous met pieds et poings liés à la merci de l'UE, c'est à dire des néolibéraux, le tout au profit de l'Allemagne.
C'est Seguin et Pasqua qui avaient raison, et Sarkozy mène (et mènera) la politique contraire.
je ne crois pas .. mais quand Sarko dit quelque chose 100000 journalistes vont casser ses positions et tout faire pour conditionner la réaction populaire et l'on va jusqu'à monter des affaires médiatico-judiciaires avec d'étonnantes fuites !!.. les dernières positions sur les migrants en sont l'exemple .. la TVA sociale et le discours Hollandais bien lâche. J'ai rencontré un belge en voyage dont la fille est économiste et qui m'a dit que si Sarko et Lagarde n'avait pas été la pendant les grandes crises de la fin des années 2000 .. la situation aurait été catastrophique... en entend-t-on parler chez nous ...jamais
SupprimerSarko n'a pas osé l'affrontement pendant son mandat pas assez donnant le flan au FN ..la France souffre de blocages qui empêche toute réforme .
Sarko et la politique des milliardaires ou l'hypocrisie d'un argumentaire socialisant ... on en besoin d'argent d'économies et d'entreprises tout le monde le dit aujourd'hui .. D'ailleurs les riches on en a plus et des pauvres on en a un paquet ..et un milliardaire ne l'oublions pas donne beaucoup par ses impôts et le travail qu'il donne aux autres bien plus qu'un fonctionnaire payé par l'argent des autres. Cracher dessus c'est cracher sur sa propre richesse quand on pense à la misère du monde! nous sommes tous milliardaires par rapport à un petit éthiopien pour lequel nous n'agirons pas dans 99 % des cas .. alors zut regardons ern face nos contradictions nos lachetés vant de voir celle de nos politiques même si ils ne sont pas parfaits
"J'ai rencontré un belge en voyage dont la fille est économiste et qui m'a dit que si Sarko et Lagarde n'avait pas été la pendant les grandes crises de la fin des années 2000 .. la situation aurait été catastrophique... en entend-t-on parler chez nous ...jamais"
SupprimerMais bien sûr que si. C'est dans tous les journaux français, et Sarkozy lui-même le dit sans arrêt. C'est sans doute là que votre amie belge l'a entendu. Et c'est complément faux, il n'a pas joué un rôle plus important que d'autres dirigeants dans cette affaire.
"la France souffre de blocages qui empêche toute réforme ."
La France souffre de trop de réformes mal faites, qui laissent la bride sur le cou aux grands groupes. Le traitre Sarkozy avait annoncé vouloir aller encore plus loin dans ce type de réformes, et en a fort heureusement été empêché car la crise de 2008 a montré les dangers de ce type de programme.
"Sarko et la politique des milliardaires ou l'hypocrisie d'un argumentaire socialisant"
Oui, eh bien je ne suis pas socialiste, et je vois, avec un mépris amusé, que vous tombez dans la rhétorique du "blocage", des "créateurs de richesse" dont on aurait besoin, et des complots journalistiques contre Sarkozy.
Le programme de Sarkozy et de ceux qui lui ressemblent, y compris au PS, n'est nullement d'améliorer l'économie française, mais de déplacer la répartition des richesses en France en faveur des 1%, comme cela a déjà été le cas aux US et en GB. Le piège à couillon classique, dans lequel vous donnez tête baissée.
le piège à couillon c'est Hollande et sa clique et ce n'est ni lui ni le Fn, ni l'islam qui apporteront des solutions .. soyons réalistes ..Je persiste la France souffre de blocages et de mentalités dégradées véritables repoussoirs pour tous ceux qui veulent entreprendre et oser et arrêtons cette lacheté permanente de dire c'est la faute aux autres... Bien des problèmes actuels que nous avons résultent de nos choix et de nos erreurs
SupprimerQue proposes-tu comme politique actuel pour sortir le pays.... qui ?
Je suis d'accord avec vous, mon cher Corto, ce discours de Sarko était en tout point adapté à la situation que nous vivions et à celle qui ne manquerait pas d'advenir si nous laissions les socialistes prendre le pouvoir. Le Français étaient avertis et pourtant ils sont tombés dans le piège qui leur a été tendu et qui a été largement soutenu par les media.
RépondreSupprimerAujourd'hui je ne suis pas optimiste, car s'il est vrai que si tout le monde s'attend à l'effondrement du parti socialiste, les media n'ont pas désarmé pour autant, et les discours de Sarko ne parviennent pas aux oreilles des Français, ou alors tronqués et déformés au point d'en être incompréhensibles.
Et voilà qu'ils en sont à nous parler d'alliances de second tour entre le PS et les Républicains !
L'avenir n'est pas radieux, loin s'en faut.
@marianne: pire qu une alliance " une fusion républicaine "", ils n ont tout de même pas honte ces socialistes !
SupprimerBeau discours, mais la phrase prémonitoire de Kadhafi est aussi d'actualité et je n'ai toujours pas compris cette intervention en Libye dans une guère clanique.
RépondreSupprimerSarkozy a malheureusement une part de responsabilité dans cette invasion de migrants.
Maintenant ce n'est pas avec cette équipe de jean-foutre que l'on va se sortir de ce cloaque.
@Grandpas: oui elle était prémonitoire. Mais qu a fait, après la chute de Kadhafi la communauté internationale pour soutenir le CNT qu'elle avait pourtant reconnu ? Rien !
SupprimerSarkozy n a pas plus de responsabilité là dedans que les quelques 20 pays qui ont participé, de même qu en France toute la classe politique (PS et Hollande compris) à quelques rares exceptions qui avait dit oui à Sarko pour cette affaire.
Il pouvait dire non,.
Supprimer@grandpas ..
RépondreSupprimerl'intervention en Lybie.. intervention multinationale ne l'oublions pas . trop facile d'accuser un homme ( mais cela arrange bien ses opposants de laisser trainer cette idée.. sachant que les socialistes étaient eux aussi d'accord avec cette intervention)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Intervention_militaire_de_2011_en_Libye
le printemps arabe a commencé avant et a eu ses propres origines et ses propres conséquences
https://fr.wikipedia.org/wiki/Printemps_arabe
J'étais présent au Caire 1 mois avant le printemps arabe et j'ai senti cette présence de l'islam dur prêt à en découdre partout dans le centre ce la capitale ( à faire peur!)... dans ces pays corrompus tout était prêt à exploser... Lybie ou non nous aurions eu tôt ou tard des soucis !!!! toute la partie Nord de l'Afrique était en état d'ébullition.
Sarko a peut être sa part mais toi aussi en ayant pendant des années laisser notre pays de faire envahir doucement et en ayant accepter sans broncher la mise en place de lois sociales et de comportements suicidaires ... en laissant le socialisme avec ses lois sociétales détruire nos valeurs et vendre notre culture au plus offrant uniquement par démagogie en montrant au monde un pays affaibli !!!
imaginons que Sarko ait refusé de renverser ce tyran ( considéré comme tel par pas mal de monde) et que l'on ait la même situation actuelle avec Daesh ... que n'aurait-on entendu?
et puis les migrants passent aussi beaucoup par la Turquie .. La Lybie n'est qu'un alibi ...
Je ne me savais pas si important, ou j'ai raté un épisode de mon existence.
SupprimerComme,je l'ai dit corto, il pouvait dire non même a l ONU.
Certes mais voir la réponse de Corto plus haut
Supprimera postériori c'est simple de critiquer. pour autant Sarko actuellement a une position qui semble tenir la route sur le sujet des migrants
Je ne critique pas,je constate.
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