Mes amis, je suis très inquiet, voilà t-y pas que le jour où l'hystérique de Matignon annonce baisser sa culotte revoir les dispositions du compte pénibilité dont il s'était pourtant fait l'un des chancres chantres on nous apprend qu'un nouveau mal du siècle vient d'apparaître, presque comme par enchantement... Le burn-out au travail, autrement dit l'effondrement du salarié au travail, une grosse déprime qui vient quasi d'un coup, un mélange de pétage de plomb, de fatigue et d'azimutage, en quelque sorte un court-circuit général tant psychologique que physique. Du surmenage. C'est dingue, non ? Avant, ce fut la migraine, puis le mal de dos, aujourd'hui le burn-out. Paraîtrait même que près de 12% de la population active en souffrirait, 3 millions de personnes !
Bon, il a certes fallu que Benoit Hamon, éphémère ministre de l'éducation, se propose de faire de ce mal une quasi cause nationale en proposant un truc-projet de loi, pour qu'on en parle et qu'on imagine inclure " ce mal, mal défini, mal quantifié " dans la liste des maladies professionnelles. Ce qui par la suite, logiquement, devrait donner lieu à des arrêts de travail compensés, une prise en charge par la sécu et tant qu'à faire, un petit bonus dans le calcul des annuités retraites: t as choppé un burn-out, hop, on te compense le truc avec 3 mois de cadeau retraite, un trimestre ! Chouettos !
Alors, je ne dis pas que ce mal n'existe pas, je n'ignore pas que certaines personnes se laissent embarquer dans une passion mortifère pour leur boulot, que d'autres s'épuisent à trop bosser et que d'autres encore aient poussé la conscience professionnelle à un tel point qu'ils en oublient de vivre, mais tout de même... Allez nous dire que c'est le mal du siècle, que 3,2 millions de personnes en souffriraient, comme ça, du jour au lendemain... Mais qu'est-ce qu'il vont bien pouvoir nous inventer le prochain coup. Le spleen du conducteur qui passe 3 heures par jour dans les embouteillages pour aller bosser ? Et tiens, et les chômeurs, pourquoi n'auraient-ils pas le droit d'être burn-outés, c'est pas facile d'être chômeur, c'est épuisant, c'est déprimant... Et le burn-out du blogueur de gouvernement, hein, pourquoi ne pas le prendre en compte lui aussi...
Ben oui, bosser c'est dur, parfois. Y a des patrons qui, parfois, abusent, c'est vrai. Y a des gens qui ne savent pas se poser de limites ou tirer le rideau une fois la journée de boulot effectuée,... C'est ainsi, ça a toujours été et ce sera toujours. Alors pourquoi soudainement affoler la population avec cette nouvelle pandémie ?
C'est simple et c'est encore Benoit Hamon qui s'y colle pour nous fournir l'explication: " Reconnaître la cause professionnelle de ce mal, c'est obliger les entreprises à payer pour les dégâts qu'elles engendrent sur la santé des salariés ". Il suffisait d'y penser. Instiller encore une fois l'idée que les patrons, tous, s'agit plus de faire de distingo, sont vraiment les tortionnaires du monde moderne. A moins que cela ne soit un moyen comme un autre pour les socialistes d'opérer un transfert de charges vers les entreprises du coût des arrêts maladie. Une déclinaison de plus de la privatisation de la santé en somme... va savoir...
Mais quand est-ce qu'on va arrêter les conneries ?
Folie passagère 2786.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
Ah, la lutte des classes ! Il faudrait peut-être leur annoncer que Marx est mort et enterré ? Non ?
RépondreSupprimer@epicetou: ah ben non, si on leur dit tout, on ne va plus rigoler
SupprimerIl est clair, mon cher Corto, que ce soudain ramdam sur le burn-out est, comme vous l'expliquez, un moyen de transférer sur les entreprises les coûts de ces arrêts maladie. A ce rythme d'augmentation de leurs charges, ce n'est pas demain la veille que les entreprises recommenceront à investir pour qu'enfin le chômage ait la moindre chance d'amorcer une inversion de la courbe.
RépondreSupprimer@marianne: Cousue de fil blanc cette histoire et pas un journaleux pour développer le truc si ce n est de constater que , crotte alors, y a du burn-out
SupprimerLe burn out existe depuis quelques temps chez les infirmières, celles du public qui ne peuvent soigner, aider etc en 35 h. Alors elles font des heures sup. que bien sûr, l'hôpital, en manque de personnel (logique comptable) ne peut leur ristourner.
RépondreSupprimerChez les libérales, livrées à elles-mêmes, le boulot( et c'est la loi) consiste à être disponible 24h/24 et 7 jours/7. Alors, on s'organise et ce n'est pas facile.
Et tout ça, avec le sourire puisque le patient est avant tout une personne.
Le malheur avec ce gouvernement, c'est qu'il a une logique de rendement et d'idéologie à appliquer pour faire passer son message de main-mise de l'Etat alors que qui dit personne humaine dit humanité et cas par cas.
Voilà une explication du burn out ds ce secteur que je connais bien où justement existe encore ce qui est devenu tabou: la conscience professionnelle.
@Idel: Si on traduit burn out en Français, on devrait dire surmenage. Et là, on s 'apercevrait qu'effectivement ça existe depuis fort longtemps, rien de nouveau. Il y a donc a mon avis un truc sous-jacent visant a faire payer aux entreprises un truc qui est éminemment lié à chaque individu, j entend par là que ce burn out est avant tout le problème d une personne et non un truc du au boulot ( même si je conçois que parfois des patrons abusent).
SupprimerLe fait que ce projet soit porté par B. Hamon démontre son altruisme puisqu'il ne risque pas d'être sujet du syndrome d'épuisement professionnel.
RépondreSupprimerJ'ai rencontré pas mal de cas de burn out dans ma carrière (le plus souvent des cadres sup.) mais le plus grave (arrêt complet et immédiat a dit le médecin) a été celui du PDG de la boite ou je travaillais.
C'est de sa faute, il essayait de sauver le groupe et l'emploi au lieu de se gaver de stock-option comme le font tous ces exploiteurs représentants du grand kaapitâl (en Marchais dans le texte) assoiffés de la sueur des traaavâilleurrs et du sang des syndicalistes.
Droopyx
@Droopyx: le burn out est en effet lié à un investissement personnel démesuré et n a donc rien à voir avec une maladie professionnelle . C'est là que ce Tartufe de Hamon, qui effectivement ne risque pas d en être victime, ( a-t-on déjà vu un homme politique victime de burn out ? non ) cherche à enfumer son monde. Et si j en crois les commentaires des chroniqueurs et autres syndicalistes, ça marche
Supprimerje confirme, c'est trés dur de se lever le matin...Anne
RépondreSupprimerpar contre, les petits patrons d'eux meme... eux, ne pourront pas se rembourser eux meme en cas de burn out, si j'ai bien compris
@Anne: t as tout compris ! :)
Supprimerburn out .. un truc qui médicalement est décrit depuis plus de 20 ans .... syndrôme décrit dans les sociétés dites évoluées..
RépondreSupprimerles socialistes ne suivent pas les données acquises de la science..pourtant comme dans le cochon tout est bon pour profiter de l'état providence et des sales entrepreneurs ! Etonnant !
Les patrons et tous ceux qui ont une très lourde charge de responsabilité doivent être inclus dans ce problème ... sinon ce n'est que de la récupération politico-médiatique pour imposer encore et toujours plus de contraintes aux entreprises qui ne nous étonnons plus ensuite délocaliseront....
une étude médicale parue il y a déjà pas mal d'années ( je crois à l'échelle mondiale mais ne suis pas certain) montrait aussi que ceux qui vivaient le plus vieux dans les sociétés développées étaient plutôt dans la fonction publique .. Chuttt il ne faut pas le dire .....
savez-vous également que bon nombre de médicaux meurent très tôt .. Autour de moi j'en connais pas mal ... morts à peine arrivés en retraite ..ou avant .. on se demande bien pourquoi...
@Philz: j aimerais d abord que l on me prouve par A + B qu il y a bien plus de 3 millions personnes atteintes et que l on m assure que l on ne confond pas burn-out et investissement personnel démesuré, après , on verra. Et qu on ne confonde pas conscience professionnelle avec ce même investissement personnel démesuré.
SupprimerLa principale variable d'ajustement sur les coûts, ce sont les salariés du public ou du privé. Il faut être de bien mauvaise foi pur le nier. Et la pression au travail est une réalité qui n'a rien d'un fantasme, il y a des suicides aussi. Traiter cette question sur le mode de la dérision est un peu léger. Quand aux pauvres entreprises, il faudrait savoir des quelles on parle. Une incidence sur le chômage, je n'y crois pas. Ce qui m'étonne, c'est que des salariés à 9 Euros de l'heure ne se réunissent pas pour crier leur colère dans la rue. Ce serait sans doute meilleur pour leur santé mentale que de supporter les conditions qui leur sont imposées jusqu'au burn-out.
RépondreSupprimerAlceste
le burn-out et sa cohorte de symptômes est un problème très sérieux ( j'en ai eu un paquet de gens à traiter pour cela en, 30 ans de métier ou ma spécialité médicale en voyait les effets négatifs... et il y a d'étonnantes choses à constater ) mais la récupération politique faite l'est beaucoup moins .. On prend en compte tous ceux qui y sont soumis y compris les patrons et tous ceux qui ont de très hautes responsabilités ou l'on ne prend personne en compte !!!! .. marre de ces mentalités à plusieurs vitesses !!
SupprimerSoyez patron avec sa cohorte de gros problèmes à gérer vivez 48 heures comme lui et on en reparle ensuite pour être juste
tous concernés oui et non pas seulement certains.... voila le fond du problème....
la pression du travail... Pour être franc excusez-moi mais moi j'ai toujours comparé ma pression professionnelle (intense croyez-moi) à la pression des pauvres du monde .. cela remet en place quelques vérités sur nos sociétés, nos privilèges et le sens que nous donnons à la difficulté que nous avons à vivre.. ne l'oublions pas ...
humble avis bien sur
@Alceste; le mode de dérision est bien évidemment voulu, tu l auras compris, non parce que je ne crois pas en cette histoire de burn-out, je sais que ça existe, mais bien plutôt parce que des pignoufs comme Hamon essaient de mettre sur le dos des patrons ce burn-out en confondant volontairement burn out et ce que j appelle investissement personnel démesuré, investissement démesuré que j ai souvent constaté et qui selon ma définition relève de la responsabilité du salarié, de l employé, voire du petit patron qui s investit trop dans son boulot bien plus que de la responsabilité de l entreprise broyeuse d hommes.
SupprimerCela fait bientôt 3 semaines que je suis chez moi à rester immobile et là je frise le burn- out.
RépondreSupprimer@grandpas: non, toi je te connais, ce n est pas du burn out, c'est l inactivité qui te ronge :) Trois semaines sans te foutre de la tronche de tes collègues de travail, voila qui te déprime !
Supprimera part ça, comment ça va ?
Un peu mieux mais en faisant des radios ,j' ai appris que le genou avait aussi goûté aux joies de l'entorse, pas près de reprendre le boulot.
SupprimerHamon burn out?C'est ceux qui ont le moins de chance d'y être soumis qui en parlent le plus
RépondreSupprimer@zen aztec : A midi, Hamon a déjeuner avec un boxer dans un restau classe de Paris avec vue sur Paris, aucune chance qu il choppe le Burn out
Supprimer@Zen : tiens photo pour preuve : https://pbs.twimg.com/media/CGA8ZEBWMAA_b-Q.jpg:large
Supprimerj'ai pas vu le clébar...!
Supprimer@zen aztec : il n'y a pas de boxer, mais il y a bien un animal qui fréquemment jappe et aboie (souvent en meute d'ailleurs, peut être un beagle ? sûrement un bigle).
SupprimerDroopyx
Géo
RépondreSupprimerBonjour
Et nouveau billet judicieux de Corto.
Effectivement,pourquoi importer un terme anglais et créer un nouveau "machin" pour ce qui existe depuis toujours???
Encore une manipulation du langage au pays décrit par George Orwell,à mon sens.
Winston Smith n a qu à bien se tenir!
Dirait t on que Vatel fit un "burn-out"et qu il en est mort?
Ou que...
Agnés Sale a fait un burn-out de taxis et serait ce grace aux (nouvelles?)mesures contre le "burn-out"...
qu elle est recasée pour connaitre une rétribution bien méritée dans un emploi bonnard aprés une telle overdose?Elle pourra s appuyer sur son baton de Pellerin pour poursuivre son cheminement sur le sentier de la vie si dure pour tous!
Quand on voit paraitre un nouveau terme importé comme un effet de mode,ne faudrait il pas se méfier de toute la manipulation susceptible d etre cachée derriére un tel ovni?
Bon!nous avons aussi nos ovnis nationaux:probléma-tique,théma-tique,dé-construction(destruction c est pas beau).
Sans parler de la féminisation à outrance des mots,pour faire plus "égalitaire".
Tout cela fait plus "savant"en théorie et ne régle jamais rien!
Bonne soirée
@geo: ben si j étais Saal , je ne compterais pas trop sur Pellerin pour me servir de canne, elle est plutot boiteuse en ce moment la Fleur et pas vraiment en odeur de sainteté au Chateau
SupprimerGéo
SupprimerBonsoir Corto
Je ne me fais souci ni pour l une,ni pour l autre,meme si Pellerin venait à Vallser,leur "burn-out" est bien pris en charge par leur couverture sociale.
En parlant du "Chateau"
Ça ne se terminera pas pour elles comme pour le héros du roman de Kafka!
Dans ma première entreprise , le lundi matin j'avais 4-5 employés qui avaient le burn-out , à cette époque là on disait une bonne cuite mal passée , le mardi le moral était là . Encore une connerie de socialo qui n'a jamais bossé .
RépondreSupprimerOù l'on retrouve l'ami Hamon qui a fini de trinquer les bonnes bouteilles de l'ami Montebourg à la santé de François Hollande ... Il est sorti par la porte , il rentre par la fenêtre ... notre très éphémère ministre de l'Education Nationale passé à la cause nationale du Burn out ! En socialie tout se recycle !!! Et le Burn out des Français au bout de 3 ans de gouvernance socialiste ! Qui en prendra soin ? Marguerite
RépondreSupprimerLe bichon-chaton-trop-fragile est la nouvelle créature nee des "risques psycho-sociaux" où toute remarque ou tout dossier supplémentaire est suivi immanquablement d arrêt de travail.
RépondreSupprimerJ ai été jeune m'a fallu quelques années pour accepter en haussant des épaules les cons et les fous-furieux qu'immanquablement on va croiser au boulot parce qu'il y a pas de raison qu'il y en ait moins qu'ailleurs. Or maintenant de plus en plus de monde est resté au stade stagiaire influençable. Y a eu des suicides? Comme partout dans tous les secteurs, des parents sont-ils reSponsables du suicide de leurs enfants? Mais une entreprise oui?
J ai fait plein de grosses boîtes - et effectivement la pression terrifiante qui est arrivée est juste de travailler normalement et de passer un peu sur excel (enfin pas tout le monde l'informatique est tellement NOUVEAU). Le nombre de poste à faire des trucs a la main pour occuper les surplus...tout le monde a un smartphone ou essaye des nouvelles recettes de cuisine ou veut améliorer son score au footing mais oulala changer la couleur des pochettes au boulot et c'est le drame!
Que les gens aillent bêcher leur jardin pour voir si les vilaines entreprises (alors qui sont vilaines par leurs existences et aussi parce qu'elles embauchent pas c'est pas un peu schizophrène?) sont si terribles massivement pour tant de millions de personnes?
D ailleurs en vertu de la protection du salarié les entreprises sont obligées de garder les toxiques notoires et de les déplacer de service en service...c'est un peu le chien qui se mort la queue.
Pour avoir dirigé des Entreprises en France et en Suisse je confirme que le plus "burnouté" de la population active est côté fonctionnaire, état chronique et stationnaire que nous traduirons par encéphalomyélite myalgique ou plus simplement flemmagite aigue du profiteur patenté (pour une grande majorité).
RépondreSupprimerAller au charbon chaque jour, chercher des marchés, les assumer, se colleter avec banquiers, fournisseurs, les administrations diverses (Inspection du travail, Fisc , URSSAF j'en passe et pas des meilleures) maintient en forme, même si certaines nuits sont agitées pour cause de traites de fin de mois à honorer.
Il me souvient de soirées mémorables dans les carnotzets* de divers établissements helvétiques avec les personnels, un "dégagement" pour ceux qui ont connu où on évacue stress, rancunes, fatigue compréhensible, où à défaut de se regénérer pour certains on se libère et on se rassemble dans un moment ailleurs.
Le lendemain matin tout le monde l'oeil plus ou moins clair est présent à sa tâche.
Mais c'était presque jadis, avant d'avoir une bande de larves et de cloportes orchestrée par Toumou Ier qui n'ont cesse que d'encourager paresse, fuite, démission devant l'effort et les réalités, avant de les conforter dans une passivité maladive pour mieux les soigner après les avoir soigneusement anesthésiés.
Comme dirait H16 ce pays est foutu, malgré tout je demeure un incorrigible optimiste.
*Un carnotzet (ou carnotset) est une petite cave aménagée où l'on stocke et déguste du vin entre amis. Le mot est plus couramment utilisé en Suisse romande, mais il reste aussi dans le patois de Haute-Savoie. Cet endroit de convivialité, à la fois rustique et caché se caractérise par sa nature secrète et son statut d’exclusivité. Être admis au carnotzet témoigne d’un certain degré d’intimité avec le propriétaire ; c’est une faveur amicale qui se mérite: en principe, ce qui se dit au carnotzet n’est pas colporté au dehors. On y déguste non seulement les vins locaux, mais également des produits du terroir, comme du pain, de la viande séchée, du fromage.
Les parois, tantôt lambrissées, tantôt en pierres apparentes, voire recouvertes d’un crépi rustique, sont décorées de symboles liés à la vie rurale ou viticole (fer à cheval, outils, ceps, fusils, gravures, tableaux...). La table, les chaises et banquettes sont en général en bois. Souvent relativement exigu, un carnotzet se ferme d'une porte qui assure non seulement une isolation phonique, mais une certaine confidentialité aux échanges.(Wikipedia)
Hamon ? Hamon ??
RépondreSupprimerVous avez dit Hamon ?? Mais c'est bien sûr, avec son marcel.
Un mec-si-con basané
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le nez
En guise en guise en guise en guise en guise en guise de parasol
explicacion consurmirse (burn out en...français)
Il n'est pas loin de midi d'après le soleil
C'est formidable aujourd'hui ce que j'ai sommeil
L'existence est un problème à n'en plus finir
Chaque jour chaque nuit c'est la même : il vaut mieux dormir
explicacion sin dientes (sans dents)
Je ne vois que des fauchés tout autour de moi
Et d'ailleurs ils ont l'air de tricher aussi bien que moi
Et pourtant j'ai le gosier comme du buvard, du buvard
Ça m'arrangerait bougrement s'il pouvait pleuvoirrrrrrrrrrrrr
Voici venir Letroudebal, mon Dieu qu'il est fier
C'est vrai qu'il n'est général que depuis hier
Quand il aura terminé sa révolution
Nous pourrons continuer tous les deux la conversation
Estoy agotado ! Dodo !