Supprimer les classes bilingues, étouffer l'enseignement du latin et du grec. Interdire les classes européennes, limiter le temps dévolu aux matières fondamentales au profit d'une fumeuse " interdisciplinarité "... La réforme du collège que vient d'engager la ministre de l'éducation nationale a un objectif simple: en finir avec l'élitisme. Cette idée insupportable que l'enseignement puisse servir non seulement à l'instruction de tous mais aussi à la sélection de quelques-uns. En France, depuis la révolution, on a un problème avec les têtes qui dépassent.
Même si le gouvernement actuel bat des records dans ce registre ( on a même pensé à supprimer les notes à l'école primaire ), voilà une bonne quarantaine d'année que le rouleau compresseur égalitaire est à l'oeuvre dans notre système scolaire: de la mise en place du collège unique jusqu'au bac pour 80% d'une génération, les gouvernements de tous bords ont entretenu l'illusion du succès possible à tous. Mais hélas, on a eu beau remplacer Hugo par Pierre Perret, introduire le hip-hop ou la musculation au baccalauréat (si, si§) ou supprimer la culture générale à l'entrée de sciences-po, rien n'y fait: Nous sommes les champions de l'échec scolaire. Avec la régularité d'une grève des transports aériens un jour de départ en vacances, tous les classements internationaux témoignent de ce décrochage. Comme aurait dit Monsieur de La Palice, plus on baisse le niveau et plus le niveau baisse.
Le problème avec la gauche ( qui est chez elle au ministère de l'éducation, quelques soient les gouvernements ), c'est sa difficulté à comprendre que les bons sentiments ne suffisent pas à faire une bonne politique. A partir d'un constat juste ( les enfants de familles pauvres ou immigrées, qui sont souvent les mêmes, réussissent moins bien que les autres ), elle s'escrime à créer une école idéale qui instaurerait la réussite sans peine et l'élitisme pour tous. Le résultat est catastrophique: 150 000 élèves sortent chaque année du système sans la moindre qualification et les parents qui le peuvent se ruent vers l'enseignement privé, pour tenter d'échapper aux lubies pédagogiques imposées dans le public.
L'Education nationale française, c'est un peu comme une immense classe dans laquelle le professeur, au nom de l'égalité républicaine, donnerait la même note à tous les élèves en faisant la moyenne de la classe.. Au bout d'un certain temps, comme ou pouvait s'y attendre, le niveau a périclité, les bons élèves refusant de travailler pour les autres et les autres ne s'activant pas davantage, persuadés que le système les sauvera de toute façon.
Tant bien que mal, le dit système essaie aujourd'hui de masquer son échec derrière un jargon grotesque ( on n'apprend plus une langue étrangère, " on se familiarise avec des mobilités virtuelles ", on " communique pour devenir médiateur entre cultures ", on " va vers des ailleurs "). mais les parents responsables n'ont que faire de toutes ces niaiseries sémantiques. Ils veulent juste que leurs gamins réussissent.
Guillaume Roquette pour Le Figaro Magazine du 2 mai 2015.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
Bonjour Corto,
RépondreSupprimerCe gouvernement met en oeuvre ce qu'il prône pour l'école, il n'y a aucune tête qui dépasse (bon, je suis méchant, il y a peut être le Mindef et encore). "Nul un jour, nul toujours" semble être leur devise. A cela ajoute une bêtise incomensensurable combinée à un orgueil démesuré et le tableau est complet.
Le drame est que, de mon point de vue, je crains fort que nous ayons franchi un point de non-retour. Le pays s'enfonce sur tous les plans. En politique, contrairement aux mathématiques, moins que multiplie moins ne donne pas un résultat positif.
Bon dimanche
@H: j'aimerai être sur qu il ne s agisse que de bêtise, je crains plutôt que cela ne soit que le fruit d une idéologie ou l égalitarisme et le nivellement par le bas permettent aux z'élites, de gauche en l occurrence, de ne pas se faire emmerder par un peuple soumis à qui, faute d éducation performante, on aura enlevé tout esprit critique. Sans doute dois-je exagérer, d'aucun diront complotisme... :)
Supprimer@ Corto
SupprimerHélas non, vous n'exagérez pas du tout. Selon moi, vous êtes même encore en-dessous de la réalité ; sinistrA.
@Corto, plus le temps passe, plus je vois les résultats catastrophiques et bien je me dis... que finalement tu n'as peut etre pas tort, c'est a se demander en effet si il n'y a pas une volonté délibérée d'abetir la "populace" , comme tu le dis un peuple non éduqué est beaucoup plus facile a "gouverner", du pain des jeux, et roule ma poule, vieux comme le monde... alors oui complotisme peut etre , mais bon ca commence a faire beaucoup... franchement que vaut un examen comme le bac ou tu as 9 chances sur 10 de l'avoir...? que dirait on si pour le permis de conduire 9 personnes sur 10 l'avait du premier coup? que ce n'est pas très difficile et ce serait vrai...mais pas d'inquiétudes, les momes de nos élites auront toujours, eux, leurs écoles d'excellence réservées... des places bien au chaud, eh oui, l'égalitarisme, le vivre ensemble toussa toussa, c'est très bien, mais pour le populo ... faut pas déconner, merde quand meme !
SupprimerCeux qui "veulent juste que leurs gamins réussissent", s'ils en ont les moyens, les scolariseront hors EN ou même à l'étranger. Les autres couleront avec le système, ils pourront toujours, à tout hasard, s'inscrire au PS où il est démontré que les nuls pouvaient y faire carrière.
RépondreSupprimer@marianne: et n est-ce pas ce qui se passe, les écoles privées n ont jamais été pleine et parfois, j en connais, certains parents à faibles revenus se saignent parce que pour leurs enfants, ils ont compris qu en rien l EN ne les aidera
SupprimerTrès tristement d'accord. Le comble est que ces "anti élitistes " s'enferment dans une tour d'Ivoire en utilisant un jargon que les précieuses ridicules n'auraient pas renié...
RépondreSupprimer@Gridou: donjon qu ils font tout pour renforcer et protéger. L anti-élitisme ne leur permet-il pas de " dominer "
SupprimerJ'apprécie toujours beaucoup les articles de Guillaume Roquette.
RépondreSupprimerL' EN est, depuis des décennies co-gérée par un ministre et des syndicats très "progressistes", très pédagogistes...quand les 2 "gérants" sont du même bord, comme en ce moment, les choses s'accélèrent, les conneries se multiplient..les enseignants, si prompts à manifester contre un ministre de droite, ne font pas trop de vague...comment ne voient-ils pas vers quelle abîme se dirige l'école ? Ont-ils perdu toute idée de la noblesse de ce métier ? Sont-ils déjà eux-mêmes tellement formatés aux idées fumeuses qu'ils ne voient plus rien ? De bons petits soldats qui (dé )forment de bons petits soldats ? La société du future se prépare sur les bancs de l'école et quand tout est fait pour qu'aucune tête ne dépasse, que la médiocrité soit générale, je ne vois pas cette société-là accomplir de grandes choses...elle sera une proie facile et se laissera imposer n'importe quel modèle, proposé par n'importe quelle culture...on est foutu...
@nana: je crois qu a toutes tes questions tu as les réponses, non ? Pourle futur... un peu comme toi, on est mal barré c'est certain et faute d un rebond et d une prise de conscience rapides de l écueil vers lequel nous nous dirigeons, le naufrage semble inévitable.
Supprimerl'EN est le bars armé du socialisme, rien de nouveau et ça fait plus de 40 ans que cela dure en France avec en moyenne de mémoire, un nouveau ministre tous les deux ans .
IG infiltree par le SGEN/UNSA qui ne representent que 20% du corps enseignant. Un el exemple de democratie, n'est ce pas? par ailleurs notre ministre actuelle est aussi sournoise, dangereuse et bouffie d’idéologie que Peillon dont elle suit les traces en amplifiant ses errements. Ainsi elle a fait la part belle a la ligue de l'enseignement, organisme pedagogo s'il en est, en nommant un de ses representants au CSE cet automne et en nommant en toujte discretion son president a l'Inspection generale ou ce brave monsieur sevira encore bien apres qu'elle aura disparu. Le noyautage continue..... Cela dit, une lueur d'espoir: le SNES et le SNALC se rejoignent pour denoncer en commun la reforme. Une greve est prevue le 19 mai qui, si bien suivie, peut ebranler les socialos qui doivent se souvenir que la Sego, en 2007, a perdu car une grosse partie des troupes enseignantes avait alors deserte le vote socialo pour donne sa chance au nabot...... Donc, le petit pere Hollande, a mon avis, suivra de pres la mobilisation enseignante lors de cette greve. J'ai vraiment pas envie de perdre 100 euros, mais je crois que je vais quand meme la faire. Car la coupe est bien pleine.......
SupprimerOn pourrait croire qu'ils le font exprès, les gauchiards de l'EN, qu'ils sabotent.
RépondreSupprimerMais pas du tout, c'est juste qu'ils sont complètement abrutis.
Amitiés.
@Nouratin: abrutis... voir mon commentaire à H plus haut, abrutis peut etre , idéologues certainement
Supprimerbonjour corto !
RépondreSupprimer"En France, depuis la révolution, on a un problème avec les têtes qui dépassent"
"voilà une bonne quarantaine d'année que le rouleau compresseur égalitaire est à l'oeuvre..."
"les bons élèves refusant de travailler pour les autres et les autres ne s'activant pas davantage"
Tout est dit !Je pense que l'éduc nat n'est plus sauvable
les parents responsables doivent chercher autre chose (privé)
@jemespe: jusqu a ce que nos gauchistes s'attaquent au privé et je te rappelle qu un paquet de ceux-ci prônent la fin du financement du privé par le public, ce qui , si cela était engagé, signerait la fin des écoles privées , du moins les plus fragiles et l avènement de deux système, un au ras des pâquerettes et un 100% élitiste, façon Eton en Angleterre.
SupprimerJe ne pense pas qu' ils aillent jusque là... En effet, nombreux sont les enseignants "laïcs " qui mettent maintenant leurs enfants dans le privé, garantie d'une meilleurê qualité (et de classes moins... "colorées ") Vous avez raison, l'EN a été longtemps le fer de lance d'une certaine gauche... Mais c'est devenu depuis une vingtaine d'années un bateau ivre, d'autant que la suppression des écoles normales a sonné le glas de l'instruction de l'art d'enseigner, qui ne s' improvise pas. Mais la responsabilité des dirigeants actuels est immense et très lourde de conséquences pour l'avenir, tout tenant à l'éducation...
SupprimerLe naufrage de l'éducation n'est pas nouveau en France, mais là, c'est le comble !
RépondreSupprimerMais que cherchent-ils ? Qu'attendons-nous pour réagir ? Pauvre France prise en otage dans
le piège de ces fous doctrinaires...
@Crisfi: qu attendons-nous pour réagir ? ben les élections mais même avec ça, pas sur que l 'EN se réforme positivement. Le dernier ministre de l EN de gauche a avoir compris le malaise a été éjecté pour avoir voulu dégraisser le mammouth. C'était Claude Allègre.
SupprimerOn pourrait croire que dans le privé on peut trouver un bateau de sauvetage. C'est oublier que les programmes doivent y être suivis. Je suis très surpris d'entendre si peu les parents d'élèves. Ne se rendent-ils pas compte du mal qu'on fait à leurs enfants?
RépondreSupprimer@pangloss: bien sur qu ils doivent suivre les programmes concoctés par les idéologues du ministère, sauf qu ils savent très bien les adapter et s en dégager autant que faire se peut. Et puis il y a privé et privé. Les parents ? ben , les 3/4 bossent alors, hein, s occuper en plus de ce qu apprennent leurs enfants...
Supprimer"A partir d'un constat juste ( les enfants de familles pauvres ou immigrées, qui sont souvent les mêmes, réussissent moins bien que les autres )"
RépondreSupprimerLe pire est que ce constat est faux.
Voici une étude réalisée par l'Ined/Insee en 2008, portant sur différents aspects des parcours d'enfants d'immigrés :
http://teo.site.ined.fr/fichier/s_rubrique/20232/dt168.13janvier11.fr.pdf
Page 44, on a le niveau de diplôme atteint par pays d'origine, ainsi que par la population majoritaire.
On constate que les pourcentages de non diplômés différents beaucoup selon le sexe pour les enfants de migrants, à la différence de la population majoritaire.
Les filles d'immigrés sont presque aussi peu nombreuses que les filles de non-immigrés à être sans diplômes...alors que les fils d'immigrés, eux, sont beaucoup plus nombreux à être sans diplôme.
Donc, le problème n'est pas le système scolaire (même s'il y a quand même un effet) mais leur comportement.
Supprimercomment expliquer qu'en sixième et cinquième un prof soit obligé d'expliquer l'énoncé du problème de mathématique à plusieurs enfants parce qu'ils ne le comprennent pas et ne savent pas bien lire ? leur comportement dites-vous? plutôt un défaut d'apprentissage des bases et un défaut de contrôle de l'EN..
Comment expliquer qu'un professeur devant punir un enfant parce que son comportement perturbe la classe celle-ci soit d'abord obligé d'en référer au proviseur.. Défaut de comportement? ou défaut d'autorité de base
( information venant d'une amie prof de math)
l'éducation, l'ouverture de la pensée le travail et l'effort sont les seules méthodes pour libérer un peuple .. en France depuis très longtemps on fait l'inverse tout en supprimant les repères permettant de gravir et d'affronter le monde futur .
le système éducatif français est en effet prévu pour faire des enfants manipulables facilement sans esprit critique ou tout le monde fait la même chose au même moment sans gloire avec médiocrité (la normale) en étant dépendant et assisté pour tout ( système de Santé par exemple qui n'éduque absolument pas les gens par la prévention, bien au contraire.. le parallèle avec l'éducation est frappant d'ailleurs et la aussi les résultats catastrophiques dans bien des domaines.. J'en sais quelque chose)
Déjà à mon époque, il y a 40 ans, il fallait mieux coller les gosses dans le privé, même si c'était encore à peu près gérable en public, la méthode globale faisait déjà des ravages et seuls les parents attentifs réagissaient, après la grande manif de 84, les choses étaient vraiment claires, fallait exclusivement compter sur le privé et on ( je dis on car j'en était ) a bien défendu l’école privée et les idéologues ont reculé, ils s'y sont pris autrement et le résultat est là, il y a un fossé terrible entre les gamins du privé et ceux du public, à de rares exceptions près , et c'est pour ça qu'on se fera bouffer, les gens n'ont pas eu d'instruction ni de vraie culture depuis 40 ans, on voit le résultat, 6 millions de chômeurs réellement , en comptant TOUS les gens exclus de l'emploi et pas une manif, des ectoplasmes ! je suis effarée par le manque de culture, avec un certificat d'études des années 60 j'ai l'impression d'être au niveau bac plus 10 !
RépondreSupprimerLe privé a été tué par le Bac à 80%, gigantesque trappe à la médiocrité dans lequel il a été attiré contre son gré. Avant, il était facile de savoir qui était un bon lycée. Dans mon cas, en série D, il a enregistré 78% de réussite alors que la moyenne nationale ne devait pas excéder 50%. Je dois ajouter que ce n'était pas une boîte pour fils ou fille à papa et qu'on y trouvait toutes les classes sociales.
SupprimerDésormais, le niveau est tellement "élevé" que le différentiel est quasiment inexistant voire qu'il joue en faveur du public. En règle général, seul l'encadrement est de meilleur qualité et la relation élève-enseignant plus saine.
@Boutfil: on voit le résultat ! ben oui, deux générations , au mini, sacrifiées au plus grand bénéfice d une idéologie qui tire tout vers le bas. C'est nettement moins difficile de gérer des incultes que des gens intelligents et a l esprit critique.
SupprimerAVIS à ceux que ça interesse: voici comment les profs de gym 2015 définissent les cours de natation pour 2016:
RépondreSupprimerhttps://pbs.twimg.com/media/CD1iamVWMAASB44.jpg
Sans allez aussi loin ce gvt me fait penser aux Khmers rouges , lorsqu'ils sont arrivés tous les intellos ont été tué . Le savoir dans un pays de gauche est très mal vu .
RépondreSupprimer@Claude Herni: l absence de savoir rend les gens malléables ou dociles. Au choix.
SupprimerMerci Corto de nous avoir relayé ce billet fort clairvoyant.
RépondreSupprimerNivellement per le bus, nullité de pour tous et formatage des (très) jeunes esprits.
Comment, après pareil lavage de cerveaux, nos petits pourront-ils réfléchir et se faire une opinion par eux-mêmes ? Même avec des parents très vigilants...
Il y a quelques jours, avec un air plutôt consterné, ma petite-fille (11ans et demi) m'a demandé ce que je pensais de " Je suis Charlie", avant de m'annoncer, toujours consternée que son père (mon propre fils !) l'avait mis sur son téléphone. Ce qui, visiblement la contrariait. Quel comble (et quelle chance) que cette petite ait été plus futée que son père et ne soit pas tombée dans le panneau ! Mais quelle déception de constater que mon fils se met à perdre la raison ; oú pire, à se laisser embobiner !
En écho à votre billet d'hier...
@Franzi: a se laisser embobiner...
SupprimerTiens pour l anecdote, il y a 8 jours, je mets sous les yeux de ma sœur le décret d application d'Ecomouv signé en 2014 de Ayrault, Moscovici et Cazeneuve et bien elle m a soutenu que c'était Sarkozy !
En sus de ses billets sur le Point, voir l'excellent blog de J.P. Brighelli :
RépondreSupprimerhttp://blog.causeur.fr/bonnetdane/
L'année dernière à Bac+3 j'ai eu plusieurs élèves qui ne savaient pas qu'il y avait 52 semaines dans une année !
Quant aux mémoires, il est fréquent de tomber sur des phrases sans verbe ou sans sujet ou des paragraphes dont 2 phrases au moins disent le contraire l'une de l'autre.
Droopyx
@Droopyx: tu ne m étonnes même pas :)
Supprimer"L'élitisme pour tous", ça fait penser à la petite ville de Lake Wobegon, mise en scène dans les romans de Garrison Keillor, une petite ville où tous les enfants étaient jugés "supérieurs à la moyenne"...
RépondreSupprimer@Blaise: " ou tous les élèves étaient jugés supérieurs a la moyenne " , en droite ligne avec mon dessin donc.
SupprimerBonsoir Corto,
RépondreSupprimerL'article est pertinent, mais c'est dommage,compte tenu du sujet, que Monsieur Roquette ecrive : quelques soient les gouvernements au lieu de : quels que soient ...
Au final, l'école n'apportant plus les savoirs de base, les seuls qui s'en sortent sont les enfants des milieux favorisés. ..
@béatrice: vu que j ai recopié cela avec mes petits doigts, faudrait que je vérifie si c'est Roquette qui s est gouré ou moi qui ai fauté :)
Supprimerla première chose à faire pour améliorer l'éducation c'est de libérer les profs de cette idéologie socialiste dont on leur a rempli la tête... Le socialisme s'installe ainsi en contrôlant la pensée des éducateurs, des journalistes et de bon nombres de gens de l'état bien peu libres d'esprit finalement car détenteurs d'une pseudo vérité universelle fausse et délirante !(suffit de sortir de son pays pour se rendre compte de la prétention mais aussi de la dangerosité de notre système étatique)
RépondreSupprimer