Le degauche déconfit: Une raison de plus de voter Sarkozy !

Nous atteignons des sommets dans la mesquinerie, le ragotage, la petitesse et le vulgaire.

Si, si, puisque je vous le dis.

Les degauches bas du front se déchaînent: Sarkozy a perdu ! les jeux sont faits, pas besoin de vous déplacer pour voter ! Les "rats quittent le navire", ça sent la "fin de règne", les "conseillers ministériels cherchent à se recaser", "Il a peur des voleurs", "la curée est proche", " même 40 économistes [de gauche] sont contre Lui", " Rendez-vous compte, même l'anosognosique Chirac voterait [on en sait rien mais on le dit quand même] pour Hollande"... Il y en a même pour affirmer, sans rire, que le Peuple de France croit en l'alternance hollandaise et tant pis pour ceux qui n'ont pas la même religion.

Même Bourdin, journaliste bien connu, crache son venin sur tweeter: " Sarkozy est lâche "; même François Bonnet, journaliste en quête de notoriété, se couvre de pipi en estimant, malgré les évidences, à 25 000 le nombre de personnes ayant fait le déplacement à la Concorde... comme s'il était besoin de dévaloriser un peu plus cette ex-noble profession que fut le journalisme.

Et je ne vous met ici que ce qui est à peu près publiable. Le reste des commentaires, textes, billets mais aussi articles bien-pensants que j'ai pu lire se disputent à qui mieux-mieux les palme de la médisance, de la vindicte à 4 sous, de l'insulte niveau bac à sable, voire celle de la diffamation.

La gauche serait-elle saisie d'une indescriptible peur au ventre à l'idée que leur "couille molle " - les mots sont de Martine Aubry - puisse perdre pour se vautrer à ce point dans l'outrance et le ridicule? Ces nuisibles qui se croient efficaces ( à défaut d'être influents ) auraient-ils oublié les conseils de l'un des leur, Joffrin, qui pourtant prévenait: " l'antisarkozysme primaire n'est ni une alternative, ni un programme convaincant. " ?

En tout cas, ces " mini-moi ", blogueurs, éditocrates ou  "journalistes" bien-pensants et sûrs d'eux, me donnent une raison de plus, si besoin était, de voter Sarkozy: les voir, les lire et m'amuser de leurs mines déconfites quand le 6 mai, le visage réjoui de Sarko s'affichera sur les écrans. Il aura peut-être un petit sourire en coin, l'air de dire: la raison l'emporte toujours sur l'injure et la médisance.

Folie passagère 1127.

D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr