Donc, et si j'ai bien compris, mon cher Corto, au moment où on nous explique à longueur de colonnes dans les journaux et de sondages (56% pour Hollande; 53% pour Aubry) que les Français s'apprêtent à voter pour un président socialiste en 2012, en Espagne le peuple "en veut beaucoup aux socialistes pour ne pas avoir réussi à les sortir de la crise". Cela devrait tout de même nous faire réfléchir, avant que nous ne soyons obligés tous, à aller installer notre tente, qui place de la Concorde, qui place Bellecour.
@marianne: et bien oui force est de constater que la gauche a bien du mal dans nombres de pays a trouver solutions et parades pour contrer cette crise économique. Mais je crois qu'il y a plus profond que cela. je ne voudrai pas etre de mauvais augure mais j'observe, lis, regarde et ecoute et je vois bien des mécontentements grandissants. Et d'une manière ou d'une autre, il va falloir que la pression s'echappe. Comment?...
J'ai aimé la conviction de la première journaliste (Adeline... ? On ne lisait pas bien) vêtue de blanc. Je me revoyais en mai 68... Ensuite, la petite Black m'a fait rire, obligée de regarder sa feuille pour dire "La Puerta del Sol"... Et ces charmants accents canadiens. Plus sérieusement, que va-t-il sortir de tout cela ? Je n'en reviens pas que la jeunesse espagnole devienne conservatrice !
@lika: ola ! elle ne devient pas conservatrice, elle exprime son mécontentement. Les conservateurs auraient été au pouvoir, les socialistes l'auraient emporté. Des manifs et un vote en réaction en somme !
Bah voui mais, quoi qu'ils disent, fassent ou votent, cela ne changera rien...
Ces mouvements désordonnés aux teneurs hétéroclites m'amusent toujours. Après ils vont crier haut et fort "On a gagné" pour finir par s'étriper entre-eux. :D Cette crise intime le repli sur soi un peu partout, une façon inconsciente de contrer la technocratie mondiale qui aura inéluctablement raison au bout du compte. :)
@didier: je suis assez d'accord qu'en particulier chez nous, le repli sur soi semble etre la solution privilégiée face aux aleas d'une vie difficile. Et c'est vrai qu'au bout du compte, ça recommence...
Donc, et si j'ai bien compris, mon cher Corto, au moment où on nous explique à longueur de colonnes dans les journaux et de sondages (56% pour Hollande; 53% pour Aubry) que les Français s'apprêtent à voter pour un président socialiste en 2012, en Espagne le peuple "en veut beaucoup aux socialistes pour ne pas avoir réussi à les sortir de la crise".
RépondreSupprimerCela devrait tout de même nous faire réfléchir, avant que nous ne soyons obligés tous, à aller installer notre tente, qui place de la Concorde, qui place Bellecour.
« La révolte mondiale gagne l'Europe » : voilà qui mérite de figurer chez mes Modernœuds !
RépondreSupprimer@marianne: et bien oui force est de constater que la gauche a bien du mal dans nombres de pays a trouver solutions et parades pour contrer cette crise économique. Mais je crois qu'il y a plus profond que cela. je ne voudrai pas etre de mauvais augure mais j'observe, lis, regarde et ecoute et je vois bien des mécontentements grandissants. Et d'une manière ou d'une autre, il va falloir que la pression s'echappe. Comment?...
RépondreSupprimer@didier goux: faut pas leur en vouloir je crois que cette vidéo (et son titre) et la journaliste sont canadiennes.
RépondreSupprimerJ'ai aimé la conviction de la première journaliste (Adeline... ? On ne lisait pas bien) vêtue de blanc. Je me revoyais en mai 68... Ensuite, la petite Black m'a fait rire, obligée de regarder sa feuille pour dire "La Puerta del Sol"... Et ces charmants accents canadiens.
RépondreSupprimerPlus sérieusement, que va-t-il sortir de tout cela ? Je n'en reviens pas que la jeunesse espagnole devienne conservatrice !
@lika: ola ! elle ne devient pas conservatrice, elle exprime son mécontentement. Les conservateurs auraient été au pouvoir, les socialistes l'auraient emporté. Des manifs et un vote en réaction en somme !
RépondreSupprimerBah voui mais, quoi qu'ils disent, fassent ou votent, cela ne changera rien...
RépondreSupprimerCes mouvements désordonnés aux teneurs hétéroclites m'amusent toujours. Après ils vont crier haut et fort "On a gagné" pour finir par s'étriper entre-eux. :D
Cette crise intime le repli sur soi un peu partout, une façon inconsciente de contrer la technocratie mondiale qui aura inéluctablement raison au bout du compte. :)
@didier: je suis assez d'accord qu'en particulier chez nous, le repli sur soi semble etre la solution privilégiée face aux aleas d'une vie difficile.
RépondreSupprimerEt c'est vrai qu'au bout du compte, ça recommence...