Nous l’appellerons Max !
Max est un gars connu des services de police. On ne sait pas trop comment, les journalistes ne nous ont encore rien dit, mais Max s'est pris quelques balles dans le buffet ou ailleurs. Toujours est-il qu'il est soigné à l’hôpital et que ses jours ne sont pas en danger. Sorti de réanimation, il se remet doucement dans un autre service. On apprend que dans la nuit du 12 au 13 août, comme quoi l'info a du mal à sortir parfois, Max a eu un coup de sang. Muni d'un revolver que lui aurait fourni un copain, il déambule dans les couloirs, sème la panique avec son pétard et prend quelques infirmières en otage.
" Il interdisait à quiconque d’entrer ou de sortir de l’unité, menaçant de buter le premier qui désobéirait ou qui donnerait l’alerte", racontera le professeur Pascal Thomas.
La police intervient. Max est maîtrisé et explique aux policiers son geste par une peur subite que des méchants viennent achever le travail, se venger. Se venger de quoi ? On ne sait pas. Peu importe. Le personnel médical est sous le choc, il y a de quoi, les autres malades aussi. On a eu peur. Par peur avouée des représailles, personne ne portera plainte.
L'affaire a donc été passée sous silence, enterrée, oubliée. La seule chose dont on soit sûr, la police confirme, c'est qu'aujourd'hui, il est libre Max.
Ça se passe comme ça à Marseille, à l’hôpital Nord.
" Il interdisait à quiconque d’entrer ou de sortir de l’unité, menaçant de buter le premier qui désobéirait ou qui donnerait l’alerte", racontera le professeur Pascal Thomas.
La police intervient. Max est maîtrisé et explique aux policiers son geste par une peur subite que des méchants viennent achever le travail, se venger. Se venger de quoi ? On ne sait pas. Peu importe. Le personnel médical est sous le choc, il y a de quoi, les autres malades aussi. On a eu peur. Par peur avouée des représailles, personne ne portera plainte.
L'affaire a donc été passée sous silence, enterrée, oubliée. La seule chose dont on soit sûr, la police confirme, c'est qu'aujourd'hui, il est libre Max.
Ça se passe comme ça à Marseille, à l’hôpital Nord.
Folie passagère 1886.
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
C'est la faute à Sarko et puis notre cher Grand conducteur, don de dieu fait à la France a une guerre à faire pour se grandir aux yeux du Monde et les autres loufoques du PS, eux aussi et de toute façon, tout va bien, ayez confiance, puisqu'on vous l'ordonne, bordel de merde.
RépondreSupprimerDésolé, je me suis lâché.
@Grandpas: ça fait du bien de se lacher !
SupprimerJ'ai moi aussi relevé cette info. J'ai été surpris au début. Et puis, en y repensant, je me suis dit que c'était normal. D'où mon titre.
RépondreSupprimer@Pangloss: j avais pas vu ton billet. C'est normal. A près avoir mis le bronx, menacer d une arme, le mec est relâché. Normal, quoi !
SupprimerAprès les policiers et les pompiers, mon cher Corto, pourquoi pas les médecins et les infirmières ?
RépondreSupprimerComme le dit Pangloss c'est NORMAL.
Et au prix de la journée de prison sur lequel France 2 nous a briefés pas plus tard qu'hier, il ne serait pas convenable de se plaindre qu'on laisse ce jeune homme en liberté !
@marianne: tout est normal ! et le Valls de nous dire qu il n y a pas eu de prise d otage. C'est donc le professeur Thomas qui ment !
SupprimerEt le " max" peinard, libre comme l air. On marche sur la tête ou bien sommes nous en Socialie ?
Il n'y a pas eu prise d'otages. il a juste empêché, sous la menace d'une arme, les gens de sortir. Zêtes bouché ou quoi ?
Supprimer@Koltchack: il nous prennent vraiment pour des cons, non ?
Supprimer""Max" est tout simplement à la recherche de son accomplissement républicain dans le vivre-ensemble. Ne stigmatisons pas, ce serait indigne des valeurs de la république. Et puis imaginez sa détresse, soigné par plein de gens vêtus de blancs. Oui, de la couleur des affreux fachistes blancos nauséabonds qui ont colonisé son pays.
RépondreSupprimerSoyons ouverts, tolérants et républicains dans le cadre des valeurs de la république nous ayant fait signer le pacte républicain "
(Discours clamé (hurlé) par un certain Manuel V., fonctionnaire d'état).
Vryko
@Vryko. C'est cela, soyons ouverts et tolérants, c'est progressiste a souhait et s y refuser serait anti-republicain ? Et mon coup de pied au cul ...
SupprimerQue c'est beau la démocratie en Hollandie , ce gentil Max doit habiter dans un endroit où les forces de l'ordre n'ont pas le droit de mettre les pieds , soyons tolérant envers ce citoyen qui se sentirait perdu au milieu des malfrats , il ne faut pas le traumatisé en l'éloignant loin des siens . Pitaing , je rage de cette justice à 2 vitesses , que quelqu'un sorte avec un flingue à la main dans la rue et qui habite dans le 16ème ou à Neuilly , il se retrouve aussi sec au trou .
RépondreSupprimer@Claude henri: ben quoi, personne n a porté plainte tellement ils ont peur des représailles, ben quoi, les journalistes sont découvert le truc au bout de près d un mois , ben quoi, le mec a été relâché, tranquille comme baptiste, ben quoi... Nous sommes en hollandie, en socialie, en normalie
SupprimerEt les journalistes relatant des faits commis dans je ne sais quelle cité radieuse continuent de parler d'un "sentiment d'insécurité"...y'a belle lurette qu'on est bien au-delà du "sentiment" et ce qui s'est passé à Marseille avec les "non-conséquences" pour le coupable n'oeuvre pas vraiment pour rassurer la population...
RépondreSupprimerQuand je pense qu'il y en a pour vouloir mettre de l'ordre en Syrie...qu'ils commencent donc par faire le ménage ici...
@nana: faire le ménage ici, à marseille par exemple, supposerait de lever certains tabous, de parler de trucs qui fâchent, de l origine, par exemple, de tous ces " Max", alors , penses-tu, autant aller chercher des noises à Assad, c'est, a priori, moins risqué politiquement
SupprimerJ'entends Carlotti demander que la campagne municipale à Marseille ne s'articule pas autour de l'insécurité. Une preuve de plus que les socialos n'ont strictement rien à foutre des problèmes des Français, et que comme l'a dit Koltchak précédemment, seul compte pour eux le pouvoir.
RépondreSupprimerLe socialisme est le 1er ennemi du peuple. Le jour où les gens le comprendront, les poules auront peut-être déjà perdu leurs dents. J'ai une pensée pour tous les citoyens qui subissent ce poison (jus vital pour la socialie), tous les pompiers, médecins et policiers qui ne sont absolument pas soutenus par le gouvernement et la justice.
@Pierre: moi aussi j ai sursauté quand j ai entendu Carlotti dire cela ! elle qui fut une des plus proches collaboratrices de Guérini ! c'est vraiment se foutre de la gueule du monde.
RépondreSupprimerMais tu remarqueras que tout est bien orchestré pour que l on parle un maximum de Marsseille en ce moment, en mal. Si tout ce 'sentiment ' d'insécurité ( sur lequel il ne faut pas articuler la campagne ) pouvait participer à la chute de Gaudin ! hein, pkoi se priver
Tu m'étonnes! Et le pire, c'est qu'on orchestre pour au final ne rien changer sur cette question. Les marseillais voient leur ville pourrir comme une pomme au soleil. Ah oui, Valss qui dit qu'il n'y a pas eu de prise d'otage. Enfin voyons, on n'use pas du mauvais mot pour de tels faits. S'il n'y a pas eu prise d'otage, alors tout va bien, ne paniquons pas. L'insécurité n'est qu'un sentiment, les victimes se trompent.
SupprimerDans le métro à Paris, en trois jours j'ai réussi à éviter à 2 touristes de se faire détrousser par des enfants roumains. Tu gueules un coup et ils se barrent genre "nan moi ya rien fait, moi pas parler français". Je déteste que les gens se fassent voler et je peux pas m'empêcher d'agir quand je surprends des enfants faire des larcins. Rassure-toi, je ne sais pas si je pourrai agir pareil avec des adultes. Je ne suis pas bagarreur et je ne sais que trop bien qu'un coup de couteau peut très vite arriver. Pour rigoler, tu passes une heure sur la ligne 2 ou la ligne 1, et tu es sur d'en croiser. Suffit juste d'ouvrir l'oeil.
AU final, on va leur filer un énième musée, et hop! Tout le monde sera content au micro du petit journal.
Zut! La dernière phrase n'est pas à la bonne place. Désolé.
SupprimerMax, c'est très bien, ça évite tout risque de nauséabonder, c'est comme ça qu'il faut faire.
RépondreSupprimerEn revanche, M. Le Sinistre de l'Intérieur a tout démenti en bloc, alors la Police elle n'a qu'à remiser ses vérités au placard du sous-sol, non mais des fois!
En réalité, jamais il n'y eut séquestration ni menaces, ni rien du tout de malveillant. Le type voulait juste avoir un flingue au cas où...
Voilà la vérité officielle, la Pravda, quoi.
Amitiés.
@Nouratin: exatement et puis Max, c'est chouette, max la menace... Non seulement l info met plus de trois semaines à sortir mais dès qu'elle sort elle est aussi vite trafiqué par Valls et compères. non, mais ! Il ne s'est rien passé, c'est clair !
Supprimeron nous prend pour des cons
la prise d'otage est un crime ne nécessitant pas de dépôt de plainte pour que l'action publique soit engagée.
RépondreSupprimervoir sur le lien, les propositions faites pour arranger la situation.. à mourir de rire.
www.jim.fr/e-docs/00/02/26/51/document_actu_pro.phtml
extrait :
Les faits
Dans la nuit du 12 au 13 août dernier, vers 2 heures du matin, « un patient est sorti de sa chambre et a fait irruption dans les couloirs du service, un revolver à la main », explique le Professeur Pascal Thomas, chef du service de chirurgie thoracique de l’hôpital Nord. « Il interdisait à quiconque d’entrer ou de sortir de l’unité, menaçant de buter le premier qui désobéirait ou qui donnerait l’alerte ».
Ce patient, hospitalisé pour une blessure par balles, venait d’être transféré de la réanimation dans le service du Pr Thomas. « Il était convaincu que ses agresseurs le cherchaient partout dans l’hôpital pour l’exécuter. Alors il s’est fait amené une arme par un ami à lui ».
Etonnamment l’intervention des services de police, n’a donné lieu à aucune arrestation. L’AP-HM indique enfin que « les soignants qui ont été victimes de l’agression n’ont pas porté plainte car ils ne voulaient pas donner leur identité par peur des représailles », ce qui rappelons-le n’empêche en rien l’ouverture d’une information judiciaire, la prise d'otage étant un crime ne nécessitant pas de dépôt de plainte pour que l'action publique soit engagée. On pourrait aussi voir dans ce silence une certaine tradition hospitalière qui veut, qu’autant que faire ce peut, on ne livre pas ses malades à la police, fussent-ils dangereux. L'auteur de la « prise d'otages » a finalement regagné libre son domicile.
Le procureur de Marseille, Brice Robin, indique que son parquet n'avait pas été avisé (ni par les victimes, ni par l'hôpital, ni par la police). Il aurait appris ces faits dans la presse ce matin, et a ouvert dans la foulée une enquête préliminaire.
Il s'agirait donc en tout état de cause d'un dysfonctionnement majeur, puisque l’intervention de la police pour une affaire d’une telle gravité (qualifiable au moins de menace de mort avec comme circonstance aggravante le port d'une arme) n'aurait pas fait l’objet d'un signalement au parquet.
@anne: Puisque l on te dit qu il ne s'est pour ainsi dire rien passer, hein , pourquoi chercher a en savoir plus ?
Supprimercorto, d'un autre côté.. je me pose cette question..
RépondreSupprimersi pendant cette prise d'otage qui n'en était pas une, un autre patient avait fait un probléme quelconque... genre arrêt cardiaque... et en était mort..puisque pendant cette fausse prise d'otage, le patient armé empêchait tout mouvement des infirmiéres et donc toute tentative de réanimation.
qui est responsable?